. Pauvre Blaise . Le cataplasme Valdajou 278 PAUVRE R LAI SE père pour quil aille chercher le médecin. Pour-quoi ne las-tu pas dit à M. le comte? Il au-rait envoyé un cabriolet pour chercher lemédecin ; nous laurions déjà. BLAISE. Je nai pasvoulu leffrayer;il est bon et ilmaime bien ; ilse serait tour-menté, et il au-rait attristé M. Ju-les et Mlle Hélène,— Tu pensestoujours aux au-tres et jamais àtoi; cest trop,mon Blaisot, trop,cela. Anfry, An-fry, continua-1-elle en allantdans le jardin, vavite chercher lemédecin pou rnotre garçon ; ilcroit avoir le pied démis; il na pas voulu le dire à M.


. Pauvre Blaise . Le cataplasme Valdajou 278 PAUVRE R LAI SE père pour quil aille chercher le médecin. Pour-quoi ne las-tu pas dit à M. le comte? Il au-rait envoyé un cabriolet pour chercher lemédecin ; nous laurions déjà. BLAISE. Je nai pasvoulu leffrayer;il est bon et ilmaime bien ; ilse serait tour-menté, et il au-rait attristé M. Ju-les et Mlle Hélène,— Tu pensestoujours aux au-tres et jamais àtoi; cest trop,mon Blaisot, trop,cela. Anfry, An-fry, continua-1-elle en allantdans le jardin, vavite chercher lemédecin pou rnotre garçon ; ilcroit avoir le pied démis; il na pas voulu le dire à M. le comte, pour ne pas le chagriner, et il souffre lim possible. » Anfry jeta sa bêche, courut à Biaise, examina son pied et sortit précipitamment pour aller chez. Biaise appela sa mère.


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