. Le Jardin des plantes : description. s une détonation siterrible se ht entendre sur la mer, que ma femme et mes enfants,qui eu iruoraient la cause, en furent vivement elTrayés et abandon-iiireiil lcmvraije. o Oucst-ce donc (|ue cela? sécrièrent-ils tous;c|uarrive-l-iK Cest un coup de caiiou. Peut-être est-ce le capitaineavec nos camarades du vaisseau ipii sont revenus, ou bien nu bâti-ment élranijcr donnanl un si[;nal de dilresse; il faut aller à sonsecours. Miaii:. bruit ma paru venir directenieul du vaisseau ; peut-être aura-t-il sauté. Vous naurez p:is pris |;arde au feu, et il s
. Le Jardin des plantes : description. s une détonation siterrible se ht entendre sur la mer, que ma femme et mes enfants,qui eu iruoraient la cause, en furent vivement elTrayés et abandon-iiireiil lcmvraije. o Oucst-ce donc (|ue cela? sécrièrent-ils tous;c|uarrive-l-iK Cest un coup de caiiou. Peut-être est-ce le capitaineavec nos camarades du vaisseau ipii sont revenus, ou bien nu bâti-ment élranijcr donnanl un si[;nal de dilresse; il faut aller à sonsecours. Miaii:. bruit ma paru venir directenieul du vaisseau ; peut-être aura-t-il sauté. Vous naurez p:is pris |;arde au feu, et il se seracommuniqué ii un baril de pondre. » faisait cette suppositionliarce quau fond de làme elle désirait que le vaisseau fût anéanti,pour mettre fin ii nos éternels voyar;es. PKRi;. 11 faut donc que echi soit arrivé en calfeutrant la pinasse;le mieux est de nous en assurer sur-le-champ, et dy retourner. Quisera de la partie ? « Moi, moi, moi ! fut le cri général; et mes trois petits drôles sau-?20 Les Patagons sont tons armés de ceavec une habileté incroyable. tèrent dans leurs cuves, oîi je les suivis après avoir tranquillisé lamère en lui disant un petit mot en secret. INous sortimes de la baie plus promptement que nous navions en-core fait; la curiosité redoublait les coups de rames. (,)uand nouseûmes le vaisseau en vue, je remarquai avec plaisir quil ne présen-tait aucun chanijeinent sur le côté que nous avions en face , et (|uilnen sortait même aucune fumée; javançai alors paiement ; mais aulieu daller tout droit, comme à lordinaire, dans le corps entrouvcrldu vaisseau, je cinijlai autour de la proue pour arriver au côté op-posé, oii javais placé mon pétard. Japerçus aussitôt une alTrcusedévastation; la plus grande partie de la paroi extérieure était fra-cassée, les débris innombrables nageaient dans la mer, tout étaitpêle-mêle : mais la pinasse, «[uon voyait alors parfaitement, navaitaucun mal ; elle ét
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