. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . m •??: voudrais du chaud pour pouvoir venir rêver paresse^ iir cette tenasse. Une salle qui prend la profondeur de toute la mai:cmest la pièce principale. De là on entre, à droite c ^ - ne sest donné que deux rîmiribrr ensuite vient mon cabinet précieux pour vient la chambre a fenêtres, et pour la ^ votre maison à Cai une bonne petite chambre pour ma chambre à dans un tout petit u*.- grande chambre pour les femme; Il y a au bout encore un petit en bibliothèque pour moi, afin de chambre au moins. et à gaucii- : divan bien commode,


. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . m •??: voudrais du chaud pour pouvoir venir rêver paresse^ iir cette tenasse. Une salle qui prend la profondeur de toute la mai:cmest la pièce principale. De là on entre, à droite c ^ - ne sest donné que deux rîmiribrr ensuite vient mon cabinet précieux pour vient la chambre a fenêtres, et pour la ^ votre maison à Cai une bonne petite chambre pour ma chambre à dans un tout petit u*.- grande chambre pour les femme; Il y a au bout encore un petit en bibliothèque pour moi, afin de chambre au moins. et à gaucii- : divan bien commode, meuble t que je vous écris. Après ? )sition des portes, h^mbre rouge dans ^i, on entre mpereur a destinée ;, on va dun côté fait arranger !îne S , Iaganr Je quitte une lettre ?: ::ère et bonne Maman, et voi ire lettre du 4/1 b k-\ 5/17 Septembre que jai reçue ce matm. Elle était même arrivée en cou is me 1 ; la brouillerie de la Reine Douairière avec la comtesse UxkuU, et ici déjà, par lettres, jai appris. Alexandrine Stourdza, demoiselle dhonneur de lImpératrice Elisabeth. Lithographie. quelle avait quitté la Princesse Pauline. Hélène davance prévoyaitce résultat et le craignait pour sa sœur. Il paraît que son proprevoyage à Varsovie naura plus lieu, parce quelle a des soupçonsde grossesse, à ce que lImpératrice mère mécrit. Cela existait déjàà mon départ, mais on attribuait ce retard à la maladie quelle a eueà cette époque. Nous avons eu hier ici la première journée entière qui sentaitle Midi dans tout son beau. Nous en avons profité pour aller à laquarantaine qui est à quelques verstes dici: cest la première foisque jen vois une. II ny avait pas le soupçon dun risque, commevous pensez bien, mais quelques infortunés qui la subissaient, desGrecs, infortunés parce quil ne doit y avoir rien de plus ennuyeuxau monde. Laprès-dînée, nous avons été dans le jardin de notrevoisine, qui a mille attentions pour mo


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