. Le Monde moderne. et même parfois enmai, si la saison est tardive, que lesherses font leur apparition au un ciel clément, un homme peutfaire de 2^1 à 30 hectares par jour. Il apour cela la direction dune herse de7 à rt mètres et lhectare est vite hersé.\ient ensuite lensemencement, qui sefait avec des semoirs à quatre chevaux LA CULTURE DU BLK AUX ÉTATS-UNIS pouvant fournir sur une largeur den-viron S,50. In hersage transversal alieu parfois après lensemencenient, maisce nest pas la règle. Ln hectolitre deblé à 1 hectare est le maximum requispour lensemencement, et 1 on prend ;ice
. Le Monde moderne. et même parfois enmai, si la saison est tardive, que lesherses font leur apparition au un ciel clément, un homme peutfaire de 2^1 à 30 hectares par jour. Il apour cela la direction dune herse de7 à rt mètres et lhectare est vite hersé.\ient ensuite lensemencement, qui sefait avec des semoirs à quatre chevaux LA CULTURE DU BLK AUX ÉTATS-UNIS pouvant fournir sur une largeur den-viron S,50. In hersage transversal alieu parfois après lensemencenient, maisce nest pas la règle. Ln hectolitre deblé à 1 hectare est le maximum requispour lensemencement, et 1 on prend ;icet eiîet du blé prélevé sur la précédenterécolte (|ue lon a, après un tri tout spé- avoines et des fourrages, destinés auxanimaux. A lapproche de la moisson,les renibauchages ont lieu. Les travail-leurs pris en supplément sont générale-ment des oiseaux de passage, des che-mineaux dont le visage, le plus souvent,est familier à la ferme. Ils commencent,en elTet, la moisson dans le Sud, se dé-. COMBUSTIOX DE LA VIEILLE PAILLE B P. V L f; E COMME E N li P. A I > cial, nettoyé et conservé jusque-là. Lesfermiers trouvent plus profitable dem-ployer comme semence ce grain indigènequi. depuis une vingtaine d années deculture, sest adapté au sol et au ouvrier qui conduit chaque semoirsuit derrière, tout en dirigeant parcourt ainsi 30 et même jusquà40 kilomètres dans sa journée. Après les semailles, les extras quit-tent généralement la ferme pour n yreparaître quà la moisson. Quant auxemployés habituels, ils soccupent entretemps de la rentrée des maïs, des placent comme la saison elle-même encontinuant leur montée vers le Nord, etarrivent ainsi jusquaux bonanza de laRed River. Dans leurs étapes succes-sives à travers le continent américain,ilsse font à loccasion cahoter sur les four-gons à bagages libres que les compagniesde chemins de fer laissent à leur dispo-sition. Ces hommes, industrieux etrangés, aux ambi
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