. Journal d'agriculture pratique. bienfai-sante des pressions des mains sur rencoluredun cheval, pour combattre leffet incorrectdes rênes. Par la suite, il détermina leffica-cité de lappui sur lencolure; le prouva enexpliquant le succès des vrais bons jockeysaméricains, par lappui proportionné à latension des rênes quils faisaient involontai-rement sur lencolure avec le pont de leursmains; rendit tangible cette action en ima-ginant, en 1898, la première longe prenantappui sur le bord supérieur de lencolure enpassant dans les anneaux du mors. Le succès des observations, faites ainsi enFrance su
. Journal d'agriculture pratique. bienfai-sante des pressions des mains sur rencoluredun cheval, pour combattre leffet incorrectdes rênes. Par la suite, il détermina leffica-cité de lappui sur lencolure; le prouva enexpliquant le succès des vrais bons jockeysaméricains, par lappui proportionné à latension des rênes quils faisaient involontai-rement sur lencolure avec le pont de leursmains; rendit tangible cette action en ima-ginant, en 1898, la première longe prenantappui sur le bord supérieur de lencolure enpassant dans les anneaux du mors. Le succès des observations, faites ainsi enFrance sur la diversité des eftets produitssuivant la pression exercée sur lencolure, fitrechercher ailleurs le moyen den tirer partipour dompter certains chevaux difficiles. Cest ainsi que M. Norton Smith, profes-seur, importa chez nous, en 1901-1902, unbridon-longe basé sur les mêmes principesque la longe du capitaine français de 1898. Or, M. Norton Smith prétend (1) maitriferles chevaux les plus difficiles en une ving-. J9. Bridoii-loii;?e de M. NorLou Smilli. taine de secondes, avec son appareil, sansjamais leur aigrir le caractère. Pour confectionner son bridon-longe, ilfaut trois anneaux ayant 5 centimètres de ^1) Tlœ Field du lr janvier 1910. 626 LA HZEKNE. — PCLKQUOl CRÉER DE NOUVELLES LUZERNIÈRES^ diamètre, reliés entre eux avec une cordede coton de 1 centimètre 1/2 de diamètre et3 mètres de long. Les anneaux a et h sont réunis {(îg. 99par une partie de corde n assez longue pourpouvoir joindre la commissure droite deslèvres de la bouche du cheval avec le milieude sa joue gauche, près de lœil, en passantsur la nuque/(, eu arrière des oreilles. Lan-neau h est relié à c par la corde wi, de façon àfaire un mors dont lépaisseur est doubledu reste par suite du croisement des épis-sures; car il ne faut aucun nœud pour quelensemble se tende et se détende tout seul. Enfin on fixe à lanneau c un morceau decorde d, loug de Pour se ser
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