Annales de la Société entomologique de France . utentourant un canal axialclosà lextrémité est difficile de préci-ser si la couche interneest continue ou se ré-sout en un faisceau defibres plus ou moinstordues en hélice, com-me cest le cas chez les Dytiscus; ^^ de la « palette adhésive », où lon peut distinguer le« disque », de forme elhptique, formé dune couche assez épaisse dechitine en continuité avec la couche interne du pédoncule, et quipeut-être, comme celle-ci, se résout en un faisceau de fibres; et la» ligule » allongée, parallèle, très mince et soutenue par lo à 25 rayonsch
Annales de la Société entomologique de France . utentourant un canal axialclosà lextrémité est difficile de préci-ser si la couche interneest continue ou se ré-sout en un faisceau defibres plus ou moinstordues en hélice, com-me cest le cas chez les Dytiscus; ^^ de la « palette adhésive », où lon peut distinguer le« disque », de forme elhptique, formé dune couche assez épaisse dechitine en continuité avec la couche interne du pédoncule, et quipeut-être, comme celle-ci, se résout en un faisceau de fibres; et la» ligule » allongée, parallèle, très mince et soutenue par lo à 25 rayonschitineux un peu plus résistants, larges et rapprochés, issus de lachitine épaisse du disque. A la base, le pédoncule se trouve en relation avec un complexecellulaire mal connu, mais où se trouvent certainement des cellulesformatrices de chitine (matrixzefien), des glandes unicellulaires dontune partie au moins semble en relation directe avec le canal du pé-doncule, un muscle au moins et sans doute un filet Fig. 1. — Coupe sagittale dune ventouse {Cy-bisler). C, complexe basai ; c. a., canal axial;ch., chitine du tarse; d, disque; l, ligule;p., pédoncule. 414 .T. Chatanay. 3° Tel se présente le tarse asymétrique dans son état de perfectionet de complexité le plus grand. Mais il existe toute une série de formesmoins différenciées. Chez les Colymbetini (pi. 8, f. 2) persistent la disposition régulièredes ventouses, les soies marginales, larea. Mais le tarse est plusétroit, les soies basilaires sont très peu, ou même ne sont pas diffé-rentes des marginales; la ligule est plus courte, soutenue par seule-ment 4-6 rayons chitineux, moins distincte du disque. Celui-ci montrenettement un faisceau très complexe de fibres chitineuses. Le pé-doncule est fortement renflé en dessous de la ventouse : ce caractèrese retrouvera presque régulièrement chez toutes les formes moinsdifférenciées (pi. 9, f. 5). Dans quelques genres, co
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