Les nouvelles idées sur la structure du système nerveux : chez l'homme et chez les vertébrés . en touchant presque à la substance blanche, à Taide dunépaississement variqueux et libre. On déduit de là que lafibre parallèle, produite par la bifurcation du cylindre axe desgrains, représente une arborisation nerveuse terminale réduiteà sa plus grande simpHcité (fig. 9, /). Il est clair, étant donnée la longueur énorme dune lamelledu cervelet des mammifères adultes, quil nest pas possible desuivre jusquau bout une libre parallèle; mais^ par bonheur, ilnen est plus de même chez les vertébrés inféri


Les nouvelles idées sur la structure du système nerveux : chez l'homme et chez les vertébrés . en touchant presque à la substance blanche, à Taide dunépaississement variqueux et libre. On déduit de là que lafibre parallèle, produite par la bifurcation du cylindre axe desgrains, représente une arborisation nerveuse terminale réduiteà sa plus grande simpHcité (fig. 9, /). Il est clair, étant donnée la longueur énorme dune lamelledu cervelet des mammifères adultes, quil nest pas possible desuivre jusquau bout une libre parallèle; mais^ par bonheur, ilnen est plus de même chez les vertébrés inférieurs^ reptileset batraciens, et aussi chez les fœtus des petits mammifères; ici,il est relativement facile de suivre la fibre parallèle dans sesmoindres détails. Disons, en passant, que la disposition desgrains et de leurs fibres, ainsi que celle des cellules de Pur-kinje et des tubes de la substance blanche est essentiellementidentique chez tous les vertébrés, comme lont démontré lesrecherches de mon frère et les travaux plus récents de Falconeet de Schaper. I. Fig. longitudinale dune circonvolution cérébelleuse, demi-sché zone moléculaire; B zone des grains: C zone de la substance blanche; a cylindreaxe ascendant dun grain ; b bifurcation de ce cylindre axe et formation dunefibre parallèle; d cellule de Purkinje vue de profil; c extrémité granuleuse ter-minale des fibrilles parallèles;/cylindre axe dune cellule de Purkin;e. CERVELET 3 5 Si nous considérons, à présent, que les fibrilles parallèles,dont le nombre est infini, reposent sur les épines et les as-pérités que présentent latéralement les ramuscules protoplas-miques des cellules de Purkinje; si nous rappelons quilnexiste pas, dans la zone moléculaire^, dautres éléments aveclesquels elles peuvent établir des connexions, du moins dunemanière aussi directe et aussi efficace, il nous viendra natu-rellement à lesprit Fhypothèse que ces fibrilles repr


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