. Zend-Avesta, ouvrage de Zoroastre : contenant les idées théologiques, physiques & morales de ce législateur, les cérémonies du culte religieux qu'il a établi, & plusieurs traits importans relatifs à l'ancienne histoire des Perses : traduit en françois sur l'original zend, avec des remarques, & accompagné de plusieurs traités propres à éclaircir les matieres qui en sont l'objet. uve\ être en-femble. Soye\ju(les. Confient e-^-vous débouche a votre fort?Que le bonheur abonde fur vous deux ! Lorfque votre mari,qui aime la juflice 3 vous commandera quelque chofe _, obéif-fc\-lui ,• faites des œuv
. Zend-Avesta, ouvrage de Zoroastre : contenant les idées théologiques, physiques & morales de ce législateur, les cérémonies du culte religieux qu'il a établi, & plusieurs traits importans relatifs à l'ancienne histoire des Perses : traduit en françois sur l'original zend, avec des remarques, & accompagné de plusieurs traités propres à éclaircir les matieres qui en sont l'objet. uve\ être en-femble. Soye\ju(les. Confient e-^-vous débouche a votre fort?Que le bonheur abonde fur vous deux ! Lorfque votre mari,qui aime la juflice 3 vous commandera quelque chofe _, obéif-fc\-lui ,• faites des œuvres jufles : quelque chofe quil vousordonne, que cela vousplaife ! Aime^-vous tendrement. Quevos cœurs foient purs ô droits ! Parlez-vous avec joie t avecplaifir. Receve^ mille milliers de bénédictions. Lorfque le Nam - \ad efl achevé , le fiancé met fa maindans celle du répondant de la fille, ( & le Defiourlui fait une inflruclion ). G* *&$a&î>-- [i ] Selon le vieux Ravact , fol. 195. ceft le mari qui donne à la femme lesdeux mille dinars, comme une efpece de Douaire , donr il eft enfuire le gardien :mais le Deftour Darab douce fi ce neft pas la femme qui doit apporter une doteau mari. Le Dinar dont il eft queftion dans le Nam-^ad vaut à-peu-près 10 liv. monnoicde France ; & les deux mille dinars font mis ici pour une fomme GAH HA FAN. 105 —Jim*—,<âi #***•--•» jrt^ -j*1»—*$*<?—^f^-«!\, PRIERES AUX CINQ GAHSDU JOUR. ( JLj £*5 c//7 où ilejl dit : On prie le Gâh. ) xxxvi. {GAH) H A V A N.( Ce gâh commence au lever du Soleil 3 ù finit a midi. ) V^/Ue ma pricre plaife à Ormufd Sec. Labondance Se le Behcfcht Sec. trois fois. Je fais pratiquer lexcellence Loi 11 3jufquata midi. Que Mithra , qui rend fertiles les terres incultes, qui mille oreilles , dix mille yeux , appelle Ized , me foit pi2favorable, avec Ramcfchné khârom î Je fais izefchné &.néacfch à ces (Izeds) , je veux leur pl
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