Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . trente-/mit ans. Vendredi de la première semaine de carême,appelé de ce nom bizarre parce que lévangile de ce jourmentionne la guérison dune personne malade depuis fortlongtemps. — n. et adj. Pop. Malade du pnuce, Paresseux. — Arg. Prisonnier. — Malade à vioque. Condamné à per-pétuité. — Etre malade, Etre en défaut. — Etre recherchépar la police. — Enctcl. Dr. intern. En temps de guerre, chaque bel-ligérant doit soigner les malades comme les blesses deson armée. Le droit des gens formulé par la Convention deGenève lob


Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . trente-/mit ans. Vendredi de la première semaine de carême,appelé de ce nom bizarre parce que lévangile de ce jourmentionne la guérison dune personne malade depuis fortlongtemps. — n. et adj. Pop. Malade du pnuce, Paresseux. — Arg. Prisonnier. — Malade à vioque. Condamné à per-pétuité. — Etre malade, Etre en défaut. — Etre recherchépar la police. — Enctcl. Dr. intern. En temps de guerre, chaque bel-ligérant doit soigner les malades comme les blesses deson armée. Le droit des gens formulé par la Convention deGenève loblige encore à soccuper de ceux de larmée en-nemie tombés en son pouvoir. — Milit. Hatterie do tambour, sonnerie de clairon ou deIpompette pour appeler les malades à la visite du niajur MALADR MALADIE Lo socle du massif, do forme i peu près quadrangu-lairo, ost formé de roches primitives, granits et porph) revêtu, sur sos faces et , de couches forte-ment redressées do sédiments doloniitiiities et Aux malades. (Trompette.) Malade imaginaire (t,e), comédie en cinq actes eten prose, de Molière, et sa dernière pièce théâtre du Pa-lais-Royal, 10 févr. 16731, avec un prologue et trois inter-mèdes.(Pendant la quatrième représentation, Molière futpris de vomissements de sang, et il mourut, quelques in-stants après, dans sa maison, où il avait été transporté.) —La pièce nous met sous les yeux la manie dun homme quiveut être malade en dépit de la nature et devient ainsi laproie des médecins cl des apothicaires : sujet triste, aufond, puisquil nous dévoile une fois de plus les lâchetésde légoïsme. qui apparaît chez Argan itel est le nom dumalade iraaginairci, et lhypocrisie de Béline, sa secondefemme, qui ne la épousé que dans lespoir de le tuer àforce de remèdes. Ajoutez que Argan veut contrarierlamour de sa nlle Angélique en lui faisant épouser lojeune médecin Thomas^Diatoirus, quil


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