. Devises heroiques, et emblemes . ieu\^ous a donné en charge Vn autre KoyGrégeois fifaifiitramante^oir chaque tourquilefioit hommejpleut a Dieuque chacun^come ^eut le/age^fenfifeu\et aux fins der-niereT:plus on ejl en haut degré de Seigneurieeu Noblejje plus il faut ohVierà ce que taf^fluence é^ félicité des biens richejjes^& hon-fiemrs^ne leur tienne a empefiher la mémoirequ ilsfint hommes & fi moyenntr quelquereprefentation de la fin : ^infi comme a fuitjii, deBoiî^^grand Efcuyer de France, Ducde Roanois aynéde Go uffier portât en fia De-y fi y la Souche efironque^abatue^^ tombée auec le H
. Devises heroiques, et emblemes . ieu\^ous a donné en charge Vn autre KoyGrégeois fifaifiitramante^oir chaque tourquilefioit hommejpleut a Dieuque chacun^come ^eut le/age^fenfifeu\et aux fins der-niereT:plus on ejl en haut degré de Seigneurieeu Noblejje plus il faut ohVierà ce que taf^fluence é^ félicité des biens richejjes^& hon-fiemrs^ne leur tienne a empefiher la mémoirequ ilsfint hommes & fi moyenntr quelquereprefentation de la fin : ^infi comme a fuitjii, deBoiî^^grand Efcuyer de France, Ducde Roanois aynéde Go uffier portât en fia De-y fi y la Souche efironque^abatue^^ tombée auec le H E RO I Q^ t Ss 315 gueclemotfusejcrit. Ton Ferefta choijîpar U Légat d*^nuhoifekcaufè de Ça/èigneuneyftgelfe fourgon^uerneur du Duc dEngouUme qui fut depuisle Roy Fraçois dont il saquita dignemet &•de ft femme niejje duâitSieur légat eut deuxfils {yngrandEfcuyerjtautre amiralBon^ni^et dont Ment le fro\erhe Bmboj/e fiiBoifi ^ Boifi refit Mopmorençy, jMihi pondéra luxus^. Le trop m*acable. *tout ainfi dit Seneque que lafftande fer-tilité ^ fesateuv desgmins^Yomt &re)ieY/iles épis des BleX^iau/Jï Uife & immodérée felicite, e^erye nos ej^rits ^ f?ff?^^^^^^^ H E R O I Qjr E S. 317 HanmhalayamyaincH les Romms en cetegrande ^ celthre iournee de cannes Je retirafuferhe en la richel/ille de Capone où ilfe do^na en froye luy &fon armée Carthageoijê alamour aux banquets ^ délices ^qui far a^près le per dire ntt la pro/p ère fortune efl plus(t craindre & difficile a/upporter que Vui^\erfe. Cette çy rend l homme humble ^caut : celle U le rend fnperhe &* infolent^^ luy ote la plus jfeine partie dufens corn*» enimferuté fenfus communis illaFortuna *—- Cette aD/eu^IeVeeJfeote lesyeux de lEfprit a ceux che^^lejquels elle Metloger &fi elle a cela de mauuais gtigllc toufiQHYS trop & imm4 ajfe^^ Vli an H E R 0 1 03 es] Nil amplius optât.
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