. Bulletin de la Société botanique de Genève. s, dont certaines familles rappellent lesSymplocacées, les Dilléniacées ont un ou deux téguments, les Oclmacéesde même^ chez les Caryocaracées il y a deux téguments. On en indiqueégalement deux dans les Théacées auxquels on a parfois rattaché lesSymplocacées. Hallier les ramène vers les Ternstroemiacées, les Marc-graviacées et éventuellement les Linacées. En effet, des Diospyrales elles séloignent par leur tendance à lamultiplication indéfinie des étamines, cas excessivement rare chez lesGamopétales. 360 BULLETIN I>K LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENE


. Bulletin de la Société botanique de Genève. s, dont certaines familles rappellent lesSymplocacées, les Dilléniacées ont un ou deux téguments, les Oclmacéesde même^ chez les Caryocaracées il y a deux téguments. On en indiqueégalement deux dans les Théacées auxquels on a parfois rattaché lesSymplocacées. Hallier les ramène vers les Ternstroemiacées, les Marc-graviacées et éventuellement les Linacées. En effet, des Diospyrales elles séloignent par leur tendance à lamultiplication indéfinie des étamines, cas excessivement rare chez lesGamopétales. 360 BULLETIN I>K LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENEVE (44) iM. Stuart a étudié lovule du Camellia theifera. Ici lovule estbitegminé; mais daprès le dessin de cet auteur, le uucelle est aussirapidement résorbé. Il y a aussi une ressemblance entre larchésporedécrit, mais si lon suit Stuart1, le sac embryonnaire ne naîtrait pasdune cellule de la tétrade dun tétrasporange, mais directement de lacellule-mère elle-même. {Camellia theifera iGriff.) Dyer).. Fig. 23 bis — Symplocos Klotzschii Brd. — Embryons adventifsqui paraissent procéder des cellules du tégument. La recherche des affinités des familles critiques présente, comme onle voit, de sérieuses difficultés. Ceci provient du fait que nous sommesencore trop peu renseignés sur la valeur à attribuer à chaque caractère,en particulier à ceux tirés de la placentation, de la nature des ovuleset de lorigine des sacs embryonnaires. Il va de soi que si on maintient les Styracacées parmi les Gamopétales,il devient difficile déloigner de ce groupe les Symplocacées. Engler, 1 Cohen Stuart, C. P., Sur le développement des cellules génératrices du Ca-mellia theifera (1916). (45) M. CHIRTOIU. LAC1STÉMACÉES ET SYMPLOCACÉES 361 qui les rattache aux Diospyrinées, attribue à ce groupe des ovules àdeux téguments. Or, nous avons montré quau moins chez le Symplocosétudié ce caractère fait défaut. Chez les Styracacées,


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