. Le poinct de France et les centres dentelliers au XVIIe et au XVIIIe siècles; ouvrage orné de quarante-trois illustrations . les ventes de den-telles faites pendant le mois de may de la-dite année, cy 285^ Item, reçu pour la vente des dentelles faitespendant le mois de juin, la somme de deuxcens quatre vingt-neuf livres six sols. . 289*S6 Item, reçu la somme de trois cens soixanteet quatre livres pour la vente des dentellesfaites au mois de juillet 364*^ Plus, reçu trois cens douze livres seize solspour les ventes des dentelles du moisdaoust, cy 312,16^ Item, reçu pour les ventes de dentelle
. Le poinct de France et les centres dentelliers au XVIIe et au XVIIIe siècles; ouvrage orné de quarante-trois illustrations . les ventes de den-telles faites pendant le mois de may de la-dite année, cy 285^ Item, reçu pour la vente des dentelles faitespendant le mois de juin, la somme de deuxcens quatre vingt-neuf livres six sols. . 289*S6 Item, reçu la somme de trois cens soixanteet quatre livres pour la vente des dentellesfaites au mois de juillet 364*^ Plus, reçu trois cens douze livres seize solspour les ventes des dentelles du moisdaoust, cy 312,16^ Item, reçu pour les ventes de dentelles faitesdans le mois de septembre, la sommede trois cens sept livres dix sols 307, 10^ Item, reçu trois cens treize livres dix solspour vente des dentelles faites au mois doc-tobre de ladite année, cy 313,10 Item, reçu la somme de trois cens cinquantetrois livres deux sols pour vente de den-telles faites au mois de novembre 353%2* Item, et finallement reçu pour vente desdentelles faites pendant le mois de dé-cembre de ladite année 1736, la somme detrois cens vingt-six livres 326. 4« chapitre. . ,15. DENTELLES AUX FUSEAUX FiG. 1. Guipure de Malines (1700 à 17o0). — Fio. 2. Malines (liO à 1S00\ LES CENTRES DENTELLIERS 223 Après la Révolution, la maison de Sainte-Agnès futmaintenue comme cUablissement municipal, sous le titrede « Hospice de lEgalité » ; les enfants y apprenaient ladentelle. Après sept ans dabsence, les religieuses ren-trèrent à Arras et reprirent dans leur maison la fabrica-tion de la dentelle. Arras avait aussi dautres établisse-ments où lon faisait de la dentelle, mais leur importanceétait loin dégaler lInstitution de Sainte-Agnès. Pendant que les Normands du duché dAIençonemployaient laignille pour former, à linstar des Véni-tiens, les dentelles aériennes, si élégantes et si compli-quées, qui portent le nom de Point de France, ou PointdAIençon, les habitants de la Flandre et de lArtois seservaient de fuseaux et de c
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