L'illustration : journal universel . e a été découpée enlibretlo dopéra-comique, laparlition était deOaveaux; enlin,le théâtre des Variétés même la mise en vaudeville. La plusheureuse tentative est, à notre avis, celle qui vient dêtrefaite : le sujet de lEnfant prodigue convient en effet mer-veilleusement à un t,rand opérn il preto aux plus magnifiquesdéveloppements do la mi e en s eue les i a ^lons que lamusique exprime le mieux y peuvent être mises enjeu njm breuses et diverses, au moyen de personnages et de carac-tères quil est facile au poète de créer : poète, musicien,peintre, choréraphe,
L'illustration : journal universel . e a été découpée enlibretlo dopéra-comique, laparlition était deOaveaux; enlin,le théâtre des Variétés même la mise en vaudeville. La plusheureuse tentative est, à notre avis, celle qui vient dêtrefaite : le sujet de lEnfant prodigue convient en effet mer-veilleusement à un t,rand opérn il preto aux plus magnifiquesdéveloppements do la mi e en s eue les i a ^lons que lamusique exprime le mieux y peuvent être mises enjeu njm breuses et diverses, au moyen de personnages et de carac-tères quil est facile au poète de créer : poète, musicien,peintre, choréraphe, pour toute c«tle phalange dartistesqui concourent ensemble à la composition et à lexécutiondun opéra, il y a dans ce sujet de quoi largement exercer lapuissance Imaginative. A dire vrii nous ne pensons pas que M Scribe ait vutoutes les res ourcts i le lui offrait un pareil sujet Au heud un beau di ime Ijr q le comu e on a\ait lieu di 1 attendrede sa longue expérience et de son talent si fécond il semble. Thf Jlic (Je lOpéra. — L — 3 maJomuifelIc lIuiiLolt. 374 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. .1«,1 ..-ait J^ré dans la ééliqulrec^x u,L \ien nécc=.aire, cinq ?l??îfl^^;;,,, «musicien, le peinlre, lemtUeur i-n Mèri« tl lo iiidUre do lont r coloréi, animés, vivdiés, f ucun en ^on «en e,dun,nii-iierceMrè U bl dux,frè b aux à voir, mais dans lesquels la (i,uro de I Hnfan ,,r.^liu. noccnpe presque 1« premier 1a. a;> q-^1 «devrait le faire, le premier nousmoiiUe mu-ne ir aldo la famdl., d>l chef dune dIsraël, dans le ™n -m deGossen, dit le libretio ; le second nous transporte a Mi nipn »,un jour de fête Et ce nest nen que cet.^Mompbis maje8tueui6,«enl , couverte d -blés Iné, telle que vous la pourrie/, supposer; maisu
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