. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 832 (iVNKCi:!". lui iloiiin'iil un aspcci \rl()ulr, cl (|ui icirlois s"allon;^i'nl CM \ rrilnhlcs poils. (hi s;iil (l(''j;i (|uc ces [lapillcs sli^uiali(|ii('s laissrnl cxsuilcr. au uioiiKMil (le la iV'CondalioH, un Ji(|iii(l<' uulrilil vis(|u('ux, dcslint' à l'cicuir if i;rain de pollen e( à lui [ici'int'Urc de se dr\(dop|»t'r en lube pollinique (lig'. 1()()7), j)OUi' {-onduireJus-
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 832 (iVNKCi:!". lui iloiiin'iil un aspcci \rl()ulr, cl (|ui icirlois s"allon;^i'nl CM \ rrilnhlcs poils. (hi s;iil (l(''j;i (|uc ces [lapillcs sli^uiali(|ii('s laissrnl cxsuilcr. au uioiiKMil (le la iV'CondalioH, un Ji(|iii(l<' uulrilil vis(|u('ux, dcslint' à l'cicuir if i;rain de pollen e( à lui [ici'int'Urc de se dr\(dop|»t'r en lube pollinique (lig'. 1()()7), j)OUi' {-onduireJus- (|u"à lovulf les i^aniMcs inàlcs ou anllKMO/.oïdcs, en vuo de laloi-nialion de ro'uf de la|)lanl('. Ajoulons quo des lornialions secondaires sont assez IVé- (|uentes dans les carpelles. Tissu conducteur des carpelles. — l^c luhe polliniiiue esl guidé dans sa niarclie depuis le stiyniale jUS(ju"au micro-. f^ ?' ^-.^ Fig. 1013 fct 1014. — I. coupe ti'arisv. do rovaire de Pittosporinn si ne use : a. ovales: b. faisceaux vasculaircs ; c, paroi interne i)apilleuse, surtout vers les placentas. — II. c. papilles ])lacentaires grossies. — III. coupe Iransv. du style de TAzaléi' sous le stigmab;; cl, l'ente stylaire, limitée par l'épi- (ieriiie conducteur (Capus). pvle des ovules, ])ar un Lissu spécial, nommé tissu conduc- teur^ i\u\ résulte dune différenciation locale du parenchyme des car[ielles. Dans l'ovaire, ce lissu se constitue le long des placentas (lig". J0i3. c) ; il résulte de ce (jue l'épiderme, qui y est sou- vent papilleux (fig. 1013, II), ainsi ([uun nombre variable d'as- sises de cellules sous-jacentes, éjiaississent beaucoup leurs membranes (fig. 1015, ], ô), tout en les amollissant, et en outre accumulent <lans leur intérieur des principes nutritifs. Dans cet état, les membranes se laissent dissocier sous la moindre pression, d'autant mieux que leur lame moyenne subit parfois une complète gélification (lig. lOlo
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