. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . rs mapprendrc que les porteurs attendus étaientarrivés depuis la veille au soir et campaient sur lautre cotédu Couanza. Dal)ord je najoutai aucune foi à ce rapport, car je connais-sais trop bien Thabitude quont ces gens-là de vous conier cequils croient devoir vous être agréable afin dêtre récom-pensés de leur bonne nouvelle. Cependant je leur dis, puis-quils massuraient quils avaient vu mes hommes, que, dèsquils mauraient fourni une preuve que le docteur Cha-caïombé était réellement


. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . rs mapprendrc que les porteurs attendus étaientarrivés depuis la veille au soir et campaient sur lautre cotédu Couanza. Dal)ord je najoutai aucune foi à ce rapport, car je connais-sais trop bien Thabitude quont ces gens-là de vous conier cequils croient devoir vous être agréable afin dêtre récom-pensés de leur bonne nouvelle. Cependant je leur dis, puis-quils massuraient quils avaient vu mes hommes, que, dèsquils mauraient fourni une preuve que le docteur Cha-caïombé était réellement sur mes traces, je leur donneraisune récompense honorable. Le môme matin, le sova Mavanda me fit connaître quilpartait à linstant |)Our attaquer un village voisin oii un de sessujets sétait révolté contre son autorité et me demanda monassistance pour cette expédition. Je ne manquai pas à myrefuser, mais je le fis de façon à ce que ma neutralité noffensâtpoint le sova. Vers midi, larmée de Mavanda défila devant mon camp. En tête, flottait au bout dune longue hampe un drapeau. Hommes et femmes Quimbaudos. PARMI LES GANGUÉLAS. ^-^^l tricolore, pareil à celui de la France, mais ayant les couleursen ordre inverse. Après, venaient deux hommes qui portaientune énorme caisse à poudre, soutenue au moyen dunegrosse corde et dune perche. La façon dont ils la portaientmontrait quelle était vide. Le sova marchait derrière, en-touré de ses officiers, que larmée suivait en file pouvait comprendre six cents hommes ayant des arcs etdes flèches et huit armés de mousquets. Quelques pas enavant du drapeau, étaient deux nègres frappant de toutesleurs forces sur des tambours de guerre et en tirant le plusde bruit possible. Larmée revint un peu avant la nuit; elle navait pas étéengagée, car lennemi sétait rendu à discrétion. Quand elle eut atteint mon campement, elle me fit lhon-neur de me donner le spectacle dune petite guerre. L


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