. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. Deuxième Type. permettent de l'écussonner ras terre, pour plein-vent. Il fait sous cette forme des têtes généralement pyramidales et d'un bel aspect. Quand on le destine à la basse- tige, le paradis est le sujet qu'il Pomme Pigeonnet Jérusalem. - Premier Type. f^^^^^ ^^j donner, afin surtout de n'en pas diminuer la fertilité. Vescriiition du iruit. â Grosseur: moyenne et parfois moins volumineuse. â Forme : con
. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. Deuxième Type. permettent de l'écussonner ras terre, pour plein-vent. Il fait sous cette forme des têtes généralement pyramidales et d'un bel aspect. Quand on le destine à la basse- tige, le paradis est le sujet qu'il Pomme Pigeonnet Jérusalem. - Premier Type. f^^^^^ ^^j donner, afin surtout de n'en pas diminuer la fertilité. Vescriiition du iruit. â Grosseur: moyenne et parfois moins volumineuse. â Forme : conique assez régulière, ou cylindro-coni- que plus renflée d'un côté que de l'autre. â Pédoncule : court et bien nourri, ou de longueur moyenne et alors assez grêle, planté dans un bassin étroit et de profondeur varia- ble. â Åil: grand ou moyen, mi- clos ou fermé, à cavité bossuée et peu développée. â Peau : unie, lisse, à fond blanc jaunâtre, presque en- tièrement lavée de rose bleuâtre, rubanée de carmin foncé et ponc- tuée de blanc. â Chair : très-blan- che, fine, serrée, assez ferme et comme nacrée, surtout autour des loges, qui le plus habituellement ne sont qu'au nombre de quatre et disposées en croix de Jérusalem. â Fau : suffisante, sucrée, aci- dulée , ayant un arôme exquis. Maturité. â Novembre-Février. Qualité. â Première. Historique. â Il en est pour ce Pigeonnet Jérusalem comme pour le Pigeonnet Blanc d'Hiver et le Commun ou Rouge : on le sup- pose, sans preuve aucune, origi- naire de la Normandie. La Quintinye, qui le décrivit en 1690, le nommait Pomme Jérusalem; c'est la première mention que j'en aie rencontrée. L'an 1653 Nicolas de Bonnefond , page 109 du Jardinier français, citait il est vrai une Pomme de Judée , mais sans nul détail ; rigoureusement, cependant, cette pomme de Judée, depuis lors disparue
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