. Bulletin de la Société impériale des naturalistes de Moscou. Science; Biology; Geology; Natural history. â 276 â Les côtes sont inclinées en avant, puis, atteignant le bord sipho- nal, elles se recourbent un peu en arrière et se divisent en deux branches (très rarement en trois). Les côtes et les noeuds parabo- liques sont nombreux; nous voyons que chaque côte simple est suivie d'une autre qui se compose de la côte simple et de la côte parabolique. Les noeuds paraboliques de deux côtés sont assez éloignés les uns des autres. La partie adulte de cet échantillon est tout-à -fai
. Bulletin de la Société impériale des naturalistes de Moscou. Science; Biology; Geology; Natural history. â 276 â Les côtes sont inclinées en avant, puis, atteignant le bord sipho- nal, elles se recourbent un peu en arrière et se divisent en deux branches (très rarement en trois). Les côtes et les noeuds parabo- liques sont nombreux; nous voyons que chaque côte simple est suivie d'une autre qui se compose de la côte simple et de la côte parabolique. Les noeuds paraboliques de deux côtés sont assez éloignés les uns des autres. La partie adulte de cet échantillon est tout-à -fait dépourvue des côtes paraboliques. La figure 10, pi. XI, représente le fragment d'un tour plus âgé; les côtes et les noeuds paraboliques deviennent plus rares (une côte parabolique sur cinq âsix côtes ordinaires). Le tour est moins embrassant; sa forme est subquadrangulaire, rétrécie vers la partie siphonale. La figure 11, pi. XI, représente l'ouverture accompagnée d'oreil- lettes, que nous supposons appartenir à la même espèce; les côtes paraboliques y manquent tout-à -fait. La ligne suturale, fig. 3, dans le texte ressemble beaucoup, par son type, à celle du Perisph. suUilis Neumayr (Bahn, p. 37, pi. 14, fig. 3). Notre espèce est intermédiaire entre les groupes du FerispJi. subfiUs du callovien et du Perisph. plica- tilis de l'oxfordien; dans l'ouvrage de Sie- miradski âAmmoniten-Gattung Perisphinc- tes" une place pareille est occupée par le Perisph. reckmgidaris Siem. ^^) que nous ne connaissons pas bien. â â Le Perisphinctes intercedens ressemble Fig. 3. Perisphinctes interce- dens n. sp. Miatschliowo, as- au Perisph. Bonjouri Loriol *^), qui a une ^'^^ ^' hgne suturale pareille à celle de notre espèce; la sculpture est aussi ressemblante. La diiférence consiste en ce que l'am- monite de Loriol possède des tours plus ronds et les noeuds parabo- liques de deux cÃ
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