. L'illustration : journal universel . ur,de 32 mètres 148millimètres. Sa su-perficie excède6(;i.ôôS m. carrés. Ilcontient environ 7millions de mètrescubes deau, aussipure etaussi limpideque si elle soil,iitdes rochers doù ellevient. La digue a 70 mè-tres de largeur. Elleest formée de troismurs, dont un, —celui du milieu, —a ô2 mètres .175 mil-limètres déléés et appuyésde toutes paits .-urLa forme du bassin, qiind il est plein, est celle dun en- , le roc, ces murs sont séparés lun de lautre par deux teiras-tounoir, ou, plusexacfiuijul, dun Iriiiigie scalène, dont les semeuts. Le mur


. L'illustration : journal universel . ur,de 32 mètres 148millimètres. Sa su-perficie excède6(;i.ôôS m. carrés. Ilcontient environ 7millions de mètrescubes deau, aussipure etaussi limpideque si elle soil,iitdes rochers doù ellevient. La digue a 70 mè-tres de largeur. Elleest formée de troismurs, dont un, —celui du milieu, —a ô2 mètres .175 mil-limètres déléés et appuyésde toutes paits .-urLa forme du bassin, qiind il est plein, est celle dun en- , le roc, ces murs sont séparés lun de lautre par deux teiras-tounoir, ou, plusexacfiuijul, dun Iriiiigie scalène, dont les semeuts. Le mur princi,)al est plus haut que les deux exlrê-deux grands ciMés sont à peu près semblables, et dont la | mes, en sorte que le terrassement qui forme glacis, et (|ui,base sapp lie à la dit;ue de barrage. En se plaçant sur celte dailleurs, nest pas aussi haut (|ue le couronneninl de ladigue, on a devant soi la balle nappe deau ; derrière, la val- muraille, se trouve entièrement couvert par les eaux du bds-. LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 357 sin. Ces (errassemenls ont été faits de terre et de cailloux,recouverts de 2 inèlres de terre glaise, inalériaux qui né-taient guère propres à prévenir les infiltra-tions. Aussi a-t-on eu plus dnne fois descraintes pour celle belle construction qui, ce-pendant, sest maintenue intacte depuis sonorigine (1667). Les terrassements sont traversés par quatrevoûtes dont deux souvrent dans le mur exté-rieur faisant face au vallon du Laudot. Cesvoûtes sont ajpelées voûle du tambour,voûle denfer, voiite des robinets et mule devidange. Indépendamment de ces voies dedégorgement, il existe un déversoir destiné àdégager le bassin des eaux superlUies, et unépanchoir formé par une pale qui souvrequand on veut commencer à vider le eaux du déversoir suivent un lit de rccliesgranitiques, et tombent en supi rbe cascadedaus le lit naturel du Laudot, pour .«y join-dre à la rigole de fuite, don


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