Le tonnelier . ça. a8 LE TONNELIER, COLIN. Parlez donc bas. parler bas, cjft-ce qu^l y a des ma-lades ici. 5 ceft que not* maître dort. S t: p. I Il dore; eh bien, vous veillez vous autres,neft-ce pas? le vilain homme, il me fait mourir defrayeur. bien, avez-vous trouvé ce que vous vouliezdire, neft- ce pas votre cuvier ^ cuvier! non, li fait; ah» ceft. jufte, jemfouviens, oui, ceft mon cuvier que je vouloisdemander à votre maître Martin. vous le portera demain, perc Sep, laiffez-nous, bon foir, allez vous ,
Le tonnelier . ça. a8 LE TONNELIER, COLIN. Parlez donc bas. parler bas, cjft-ce qu^l y a des ma-lades ici. 5 ceft que not* maître dort. S t: p. I Il dore; eh bien, vous veillez vous autres,neft-ce pas? le vilain homme, il me fait mourir defrayeur. bien, avez-vous trouvé ce que vous vouliezdire, neft- ce pas votre cuvier ^ cuvier! non, li fait; ah» ceft. jufte, jemfouviens, oui, ceft mon cuvier que je vouloisdemander à votre maître Martin. vous le portera demain, perc Sep, laiffez-nous, bon foir, allez vous , bon foir, à qui parles-tu, mon ami ?Je men irai fi je veux. votre aife. S E je refterai sil me plaît. FANCHETTE. Vous avez raifon,jamais nous ne pourrons nous . en défaire. S E ?• Voilà un plaifant Olibrius , de vouloir envoyer coucher un Sindic de communauté, Marguilier de la Fabrique, un homme dans lexercice des charges, honnête homme ce qui eft de pis, & quant à Tégard Cî^ k. ® OPÉRA-COMIQUE. 29 deçâ.. .Oh ça mon petic trognon, un petit baiferpour rairelapaix. F A N C H E T T E. Allez, allez, père Sep, nous nous verrons msautre iois. Vous ne voulczpas ! ehbien>jèIiberté, lihenas , sS^ es! 1^ «^ en vas, au revoir. { è ^ ^ ^l COLIN. ï^ ^^ vr^ A ^^ • P^^ ^^^ ^^^ » ^^^s fommes bien heureux deu^^ Si i^ être quitte. 1 r C T .1 . F A N c H E T T E. ^^^: ^ La Vilaine chofe quan ivrogne. SEP revenam. Dites donc, enfants de la joie, voulez-vousbie^permettre dallumer ma pipe à votre A îsf. G H E T T E,Ah ! le voilà encore, tu as parlé trop tôt. é ne criez donc pas fi fort. Papa ? SEP élevant la je parle haut ? Je fais pourtantdes cf-lorts pour adoucir ma voix, ! je men vais moi, car il ne finira m,^. , reftez donc, la petite mère ; que je nevous chafle pas. (appercevant la bouteille.) Ahah, queft-c€ que ceft que ça, du vin! eft-il bon enfants-^ Voyons, je fuis alt
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