. . faictz || au Buz. S. I. n. d. [Paris ?, vers 1545?],in-4 de 4 ff. non chiffr. de 23 , 24 et 25 lignes à la page,sign. A, mar. r. jans., tr. dor. {Traulz-Bauzonnet.) Le titre est imprimé en lettres rondes : Letoivm phe des veftementz,félon le temps quicourt, faictzau Buz. *ÊÈ Le corps du texte est imprimé en caractères gothiques. Le poème, qui est une satire dirigée contre la mode des u buses » , setermine par la devise : Vivitpost funera virtus , placée autour dun bois quireprésente un écu à trois pals , au chef chargé de trois b
. . faictz || au Buz. S. I. n. d. [Paris ?, vers 1545?],in-4 de 4 ff. non chiffr. de 23 , 24 et 25 lignes à la page,sign. A, mar. r. jans., tr. dor. {Traulz-Bauzonnet.) Le titre est imprimé en lettres rondes : Letoivm phe des veftementz,félon le temps quicourt, faictzau Buz. *ÊÈ Le corps du texte est imprimé en caractères gothiques. Le poème, qui est une satire dirigée contre la mode des u buses » , setermine par la devise : Vivitpost funera virtus , placée autour dun bois quireprésente un écu à trois pals , au chef chargé de trois billettes. Voici la 404 BELLES-LETTRES. reproduction de ce bois final, en même temps quun spécimen des caractèresgothiques : flambeur au* lecteurs* C Saiffom SoBancce $ toutegfotrc 3aimPtnfoneabitmtat (amoîtnoue menaffe<6t) Çûtôïffant Eienfoa CQcwe fou65ameJtttitm matiyau foirfouff qràf trefpafle/^owmonSafticet)Sing moment fe paffe|wueffe be noue fmot) cen&e p ponrrftutc^efamenfecÇafcnijfoj) Wuoitfaffc3f fan(tmwwt{itKfcauom($ewef. fmim Recueil de Poésies françoises, XIII, 45-52. 592. La Vie de || puissante et || tres-haute dame || MadameGueline. || Reueuë & augmentée de nouueau, || par MonsieurFrippesauce. || A Rouen , || Chez la vefue Iean Petit, \\dans la Cour du Palais. || 1612. In-8 de 16 pp., mar. , tr. dor. (Trautz-Bauzonnel.) La veuve Petit a réuni dans le même volume deux pièces facétieuses : luneest un sermon joyeux sur la vie dune poule, analogue à la Vie de saint Harenget à la Vie de saint Ongnon ; lautre est le menu dun repas imaginaire. La première pièce, qui a dû être composée à Rouen vers 1550 (voy. Picol,La Sottie en France, 14), commence ainsi : Quaerilur utrum eu pu ne sHt galinae melioresSint in brocca quam in poto ,Cum herbis, soupa et M. Éd. Tricotel a donné chez M. A. Glaudin, en 1875, une réimpressionde cette pièce daprès le présent exemplaire, qui est jusquici le seul connu. BELLES-LETTRES
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