. L'Abbe Constantin . — Ce Jean, dit Paul, quel brave garçon ! — Oh ! oui. — Il ny a rien de meilleur au monde que Jean — Non, rien de meilleur ! Le curé se retourna pour voir encore Jean, quise perdait déjà dans la profondeur du bois. — Oh ! si, il y a vous, monsieur labbé. — Non, pas moi, pas moi. — Eh bien ! voulez-vous que je vous dise, mon-sieur labbé ? il ny a rien de meilleur au monde quevous deux, vous et Jean. La voilà, la vérité !... Oh! LABBE CONSTANTIN 29 tenez, le bon terrain pour trotter! Je vais laissermarcher , Je Tai appelée Niniche. Paul, de la pointe de son fouet, c


. L'Abbe Constantin . — Ce Jean, dit Paul, quel brave garçon ! — Oh ! oui. — Il ny a rien de meilleur au monde que Jean — Non, rien de meilleur ! Le curé se retourna pour voir encore Jean, quise perdait déjà dans la profondeur du bois. — Oh ! si, il y a vous, monsieur labbé. — Non, pas moi, pas moi. — Eh bien ! voulez-vous que je vous dise, mon-sieur labbé ? il ny a rien de meilleur au monde quevous deux, vous et Jean. La voilà, la vérité !... Oh! LABBE CONSTANTIN 29 tenez, le bon terrain pour trotter! Je vais laissermarcher , Je Tai appelée Niniche. Paul, de la pointe de son fouet, caressa le flancde Niniche, qui se mit à trotter dun train denfer,et tout joyeux : — Mais regardez donc comme elle lève lespattes, monsieur labbé! regardez donc comme ellelève les pattes ! Et si régulière !. Une vraie mé Penchez-vous pour voir. Labbé, pour faire plaisir à Paul, se pencha unpeu pour voir comme Niniche levait les maisil pensait à autre


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