Traité d'anatomie humaine . ancréatiques fournis parla splénique. 2° Rameaux duodénaux. — Les rameaux duodénaux se séparent de la mésenté-rique supérieure à son passage au-dessous du pancréas et se jettent sur la qua-trième portion ou portion ascendante du duodénum. 3° Artère pancréatico-duodénale. — Très variable comme volume, cette branchede la mésentérique supérieure chemine de gauche à droite, entre la tête du pan-créas et le duodénum, et sanastomose avec une artère de même nom (p. 185), quiprovient de la gastro-épiploïque droite (voy. Pa^icréas). 190 ANGEIOLOGIE 4° Artères coliques droite
Traité d'anatomie humaine . ancréatiques fournis parla splénique. 2° Rameaux duodénaux. — Les rameaux duodénaux se séparent de la mésenté-rique supérieure à son passage au-dessous du pancréas et se jettent sur la qua-trième portion ou portion ascendante du duodénum. 3° Artère pancréatico-duodénale. — Très variable comme volume, cette branchede la mésentérique supérieure chemine de gauche à droite, entre la tête du pan-créas et le duodénum, et sanastomose avec une artère de même nom (p. 185), quiprovient de la gastro-épiploïque droite (voy. Pa^icréas). 190 ANGEIOLOGIE 4° Artères coliques droites. — Ces artères, destinées à la moitié droite du grosintestin, tirent leur origine de la concavité de la mésentérique supérieure. Ellespassent du mésentère, oii elles sont primitivement contenues, dans cet autre replidu péritoine (mésocôlon lombaire droit) qui rattache la moitié droite du grosintestin à la paroi postérieure de labdomen. On compte trois artères coliques. Fig. 148. Artère inéhentérique supérieure et. ses branches. A, csECum.— B, côlon ascendant.— C, côlon transverse, érigné en haut. — D, côlon descendant. — E, intestingrêle, érigné en bas cl à gauche. — 1, tronc de lartère mésentérique supérieure, — 2, colique droite supérieure. —3, colique droite niojcnnc. — 4, colique droite inférieure, sanastomosant en 4, avec la terminaison de la mésentériquesupérieure.— 5, 5, artères de lintestin grêle.— 6, une artère pancréatico-duodénale. — 7, grande veine mésaraïquc. droites (quelquefois deux seulement), que lon distingue en supérieure, moyenneet inférieure : a. La colique droite supérieure naît le plus souvent à la hauteur du duodé se porte obliquement en haut et en dehors et se bifurque en deux branches :lune, ascendante, qui sanastomose par inosculation, sur la ligne médiane, avec lerameau analogue de la colique gauche supérieure (voy. plus loin,
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