Recherches philosophiques sur les Egyptiens et les Chinois . e ces Princes favoient à nen pas douter (juckur Armée avoit été défaite : ce que le peuple &les grands ignoroient, car il ed céfendu (buspeine de mort à tous les Soldats & à tous les 0^~tiers décrire. Le Général y ment, & lArm^ée syîaît. Javois entrepris cet Ouvrage pour faire voir quejamais deux peuples nont eu moins de conformitéentre eux que les Egyptiens & les Chinois, & je«os lavoir démontré jufquà lévidence; de forte^gue je termine ici mes Recherches. ^^ :n ni^!f ïllS^^^^^^ M ?i-îil .;|î11. A AMSTERDAM & à LEYDE, CB A
Recherches philosophiques sur les Egyptiens et les Chinois . e ces Princes favoient à nen pas douter (juckur Armée avoit été défaite : ce que le peuple &les grands ignoroient, car il ed céfendu (buspeine de mort à tous les Soldats & à tous les 0^~tiers décrire. Le Général y ment, & lArm^ée syîaît. Javois entrepris cet Ouvrage pour faire voir quejamais deux peuples nont eu moins de conformitéentre eux que les Egyptiens & les Chinois, & je«os lavoir démontré jufquà lévidence; de forte^gue je termine ici mes Recherches. ^^ :n ni^!f ïllS^^^^^^ M ?i-îil .;|î11. A AMSTERDAM & à LEYDE, CB A R T H. V L A M, ^ J. M U R R A Y,UDCCLXXÎll RECHERCHES PHILOSOPHIQUES SUR. LES EGYPTIENS E T LESCHINOIS. ——M—I——————11—IIIHIMIII m -<? * Il ? Il I 1 tt TOME IL Terne ÏL -1 JtAÂ JAzl^jir lesijfF^ -^l Oumu. Jér^- 2p^ - SuTi ^sn: ^^ -/^^^^^ V Â Yi *i»*«/&i^^ ^ ^ ; M!n^^^;i^^^\^-^^^^f^ Ch^rias ASAJBZE PeTREJE iffur c^siécs du ùiJ-vKi/iiAe i 7/ •? -ÇoArpiÙAiPv^j ^. peiUc Ûas^ eu i/ if a eu «îu ^l ^^nopffUs I, ^{ùtèasù\m»0àsrecherchesphilosx02pauw
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