Arsenal de la chirurgie contemporaine : description, mode d'emploi, et appréciation des appareils et instruments en usage pour le diagnostic et le traitement des maladies chirurgicales, l'orthopédie, la prothése, les opérations simples, générales, spéciales et obstétricales . Fig. 1010. — Otoscope de Garrigou Desarènes, Fie. 1011. — Spéculum de Garrigou De-arènes. La lampe qui fournit la lumière dans lotoscope parabolique de Garrigou(fig. 1010) est placée au centre dun tube A supportant un réflecteur D, (1) Garrigou Desarènes, Gazette des hôpitaux, 1867, p. 407, SPÉCULUMS ET OTOSCOPES. 643 de
Arsenal de la chirurgie contemporaine : description, mode d'emploi, et appréciation des appareils et instruments en usage pour le diagnostic et le traitement des maladies chirurgicales, l'orthopédie, la prothése, les opérations simples, générales, spéciales et obstétricales . Fig. 1010. — Otoscope de Garrigou Desarènes, Fie. 1011. — Spéculum de Garrigou De-arènes. La lampe qui fournit la lumière dans lotoscope parabolique de Garrigou(fig. 1010) est placée au centre dun tube A supportant un réflecteur D, (1) Garrigou Desarènes, Gazette des hôpitaux, 1867, p. 407, SPÉCULUMS ET OTOSCOPES. 643 de forme parabolique, parfaitement poli sur sa face interne; la partie posté-rieure C de ce réflecteur peut se démonter pour régler la lumière de lalampe. Les rayons lumineux émanés de la lampe arrivent parallèlement àlouverture B, où ils sont réunis par un verre plan convexe ayant un foyerde ls centimètres. Ce verre e*t doublé, sur son côté plan, dun autre verreteinté en bleu formant le complément de la teinte jaunâtre de la lumièrede la lampe. On obtient ainsi une clarté très-blanche. Lappareil est monté sur une lampe ordinaire au moyen du tube métal-lique \ soudé au réflecteur parabolique (fig. 1012).. Pic. 1012. — Mode demploi de 1 (rarriçou Desarènes, Le réflecteur donnant une lumière très-vive, Garrigou emploie en mêmetemps un petit spéculum à deux valves C C 6g. loi 1), muni dun écrannoir Apercé à son centre dun orifice B de 1 5 millimètres ; lécran est fixéau spéculum par la vis E ; il a pour but dabsorber les rayons dont on napas besoin. Le spéculum dé Garrigou Ûésarènes tient de lui-même dans leconduit auditif comme celui de Bonnafont. La complication de la structure de la plupart des appareils que nousvenons de décrire nest nullement en rapport avec le but que lon chercheà obtenir; il nest pas besoin de disposer dun éclairage dune intensité siconsidérable pour apercevoir nettement le fond du condu
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