. Les Français peints par eux-mêmes . LINFJRMIER 1. liE^NMll). oyoz-voiis l;i-l) .s, nii fnnddune salle élroilc. lon-gue, l):rdte do lits de fer, aux rideanx peu étoffes,\ mais Manrs, el que snr-) monte une croix de bois;voyi z-vouscepotilliomnici(ui glisse bien plus quilne marche, avec ses sa-vates, sur le carreau ciré,luisant comme le paniuellait : le voilà ! ne le viiilàplusl Cest quil va de ruelle en ruelle demandant desnouvelles el donnant le savez-vous o quoi?A des numéros; car lhomme dont il sagit na pas desemblables dans le lieu où nous le trouvons : il y a lui,el puis un, d
. Les Français peints par eux-mêmes . LINFJRMIER 1. liE^NMll). oyoz-voiis l;i-l) .s, nii fnnddune salle élroilc. lon-gue, l):rdte do lits de fer, aux rideanx peu étoffes,\ mais Manrs, el que snr-) monte une croix de bois;voyi z-vouscepotilliomnici(ui glisse bien plus quilne marche, avec ses sa-vates, sur le carreau ciré,luisant comme le paniuellait : le voilà ! ne le viiilàplusl Cest quil va de ruelle en ruelle demandant desnouvelles el donnant le savez-vous o quoi?A des numéros; car lhomme dont il sagit na pas desemblables dans le lieu où nous le trouvons : il y a lui,el puis un, deux, trois, quatre, cinq, six, etc. Où sommes-nous donc? Nous sommes où vont lesartisans infirmes, les commerçants honnêtes, les reu-liois confiants, les serviteurs fidèles dune dynastiedéchue, les dévoueminis desintéressés, les vertus intè-gres et les talents modestes; nous sommes où narriventjamais les philanthropes breveté .i Ihùpital! El maintenant parlez-nous de cet homme que nousavons aperçu tout à lIicure. Esl-ce par goût, p
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