. journal francoise 7 mar 1903 . fractaires à leur autorité, ceux LE JOURNAL DE FEAMÇOISB qui négligeaient de se conformer aux statute du code social établi par elle»étaient justement ces espèces dontla singularité offensante compromîtla carrière politique, comme dans le casde M. dArgeiison. Aujourdhui, plus quautrefois en-core, cest la mère qui élève les en-fante, et les enfants parlent comme lamère sans que le contact étranger etlinfluence de lécole, poissent jamaiseffacer complètement les traces de sespremières leçons. 2% car je m prêche ai se proteste mêplus. CepénâaHi, tout au fond, Jegar
. journal francoise 7 mar 1903 . fractaires à leur autorité, ceux LE JOURNAL DE FEAMÇOISB qui négligeaient de se conformer aux statute du code social établi par elle»étaient justement ces espèces dontla singularité offensante compromîtla carrière politique, comme dans le casde M. dArgeiison. Aujourdhui, plus quautrefois en-core, cest la mère qui élève les en-fante, et les enfants parlent comme lamère sans que le contact étranger etlinfluence de lécole, poissent jamaiseffacer complètement les traces de sespremières leçons. 2% car je m prêche ai se proteste mêplus. CepénâaHi, tout au fond, Jegarde &b la certitude qu& qi»kjtiïfoen disent, ces gens-la ne V amusent paseommfc nous, dan* notre jeunesse. —Ce nest pas faute ée se reraser.Ça danse et ça m divertit es carême,â présent comme m umt autre autres, nous nous im&giakm-. inous avions use âme à s «ver. On aeSe tracasse plus de ces choses-là... Joignons-nous pour tra imamat àlentretien de nos aines et, m vous. \ / / y y MADAMB Quand de nos jours sassemble leconseil des sages, le refrain de leursentretiens, confidences et doléancesne diffère guère décelai des vieillardsde toutes les époques— Ce nest pasconnue de notre temps ! ! —-Ma chère amie, commence unedouairière, mettez vous bien dans latête que nous radotons en rappelantla façon raisonnable dont nous étionsélevés autrefois. Ou népargne rienpour nous le faire comprendre. —Je crois bien quils eut réussi àmen convaincre, reprend «ne , voulez, médisons, un peu nons-iaênics—quitte à réparer généreusement plus éroïsme est une de ces. choses dont la douceur et te comsicdité destemps présents rend lusage plus, rarequil ne fêtait, autrefois. On se désa-bitue de Y héroïsme, La politesse t±men est une forme, effraie de plus enplus, avec ses tyrauniqwes exigences,les. sybarites que. nous sonrass, de parh gr✠des progrès de la ç#3»s C
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