. Bonner zoologische Beiträge : Herausgeber: Zoologisches Forschungsinstitut und Museum Alexander Koenig, Bonn. Biology; Zoology. 378 C. Denys & J. Michaux. 1 2 3 4 5 6 7 8 Fig. 10: Morphotype 9: (1) Nannomys minutoides MNHN 1964-297 Af. du Sud, (2) Nannomys tritón MNHN 1969-263 Zaire, (3) Nannomys bufo MNHN 1966-2210 Congo, (4) Nannomvs bufo et BMNH 63-805 Ouganda, (5) Nannomys minutoides MNHN 1964-297 Afrique du Sud, (6) Nannomys minutoides origine indet., (7) Nannomys gratus BMNH Kenya, (8) Nannomys indutus SAM 37204 Afrique du Sud. Dents gauches. che ou établit une liaison en
. Bonner zoologische Beiträge : Herausgeber: Zoologisches Forschungsinstitut und Museum Alexander Koenig, Bonn. Biology; Zoology. 378 C. Denys & J. Michaux. 1 2 3 4 5 6 7 8 Fig. 10: Morphotype 9: (1) Nannomys minutoides MNHN 1964-297 Af. du Sud, (2) Nannomys tritón MNHN 1969-263 Zaire, (3) Nannomys bufo MNHN 1966-2210 Congo, (4) Nannomvs bufo et BMNH 63-805 Ouganda, (5) Nannomys minutoides MNHN 1964-297 Afrique du Sud, (6) Nannomys minutoides origine indet., (7) Nannomys gratus BMNH Kenya, (8) Nannomys indutus SAM 37204 Afrique du Sud. Dents gauches. che ou établit une liaison entre Ies deux lobes principaux de la dent. Cette Raison se fait soit sur le bord labial de la dent (Uaison tó—19), soit sur le bord Ungual (liaison t4—tS). Ensuite, la haison du ti au lobe antérieur marque un degré plus grand de stéphanodontie. Ce dessin dentaire montre á la fois un ti et un t3, mais le t3 peut cependant ne pas étre présent comme chez certains Grammomys oü la M3/ montre quelquefois le morphotype 3 ainsi que chez certains Thallomys oü le t3 est fort dis- cret dans la plupart des cas. Des tubercules tres renñés et de grande taille en particulier ceux de la rangée cen- trale (morphotype 7) caractérisent un dernier groupe de Murinae. Le chevron anté- rieur de la M3/ ne montre que deux tubercules, un t4 et un tubercule qui représente les t5 et t6. Le second lobe se réduit á un seul tubercule. Les molaires de Pelomys sous genre Komemys appartiennent á ce groupe. En revanche, les M3/ des autres Pelomys, placés dans le sous genre P. {Pelomys), révélent une assez grande variabilité en ce qui concerne les tubercules ti et t3, ce dernier pouvant étre absent, et montrent encore au chevron antérieur la trace de trois tubercules. La variabilité élevée des M3/ á'Oenomys et le faible nombre de Lamottemys connus posent un probléme lorsqu'il s'agit de définir les affinités de ce dernier genre (Dieterlen & Van der Straeten 1988; Petter 198
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