. Histoire naturelle des drogues simples : ou Cours d'histoire naturelle professé a l'École supérieure de pharmacie de Paris . sent en lanières ; les yeux se dessinent à travers la peau. Un peuplus tard, les branchies se ramifient {fig. 891) et les lèvres se 166 BATRACIENS. recouvrent dune sorte de bec corné, à laide duquel lanimal sefixe aux végétaux dont il fait sa principale nourriture. Au boutde quelques jours, les franges branchiales, qui flottaient de cha-que côté du cou, senfoncent sous la peau pour y former lesbranchies {fig. 892). Celles-ci sont de petites houppes très-nom-breuses, at


. Histoire naturelle des drogues simples : ou Cours d'histoire naturelle professé a l'École supérieure de pharmacie de Paris . sent en lanières ; les yeux se dessinent à travers la peau. Un peuplus tard, les branchies se ramifient {fig. 891) et les lèvres se 166 BATRACIENS. recouvrent dune sorte de bec corné, à laide duquel lanimal sefixe aux végétaux dont il fait sa principale nourriture. Au boutde quelques jours, les franges branchiales, qui flottaient de cha-que côté du cou, senfoncent sous la peau pour y former lesbranchies {fig. 892). Celles-ci sont de petites houppes très-nom-breuses, attachées aux quatre arceaux cartilagineux placés dechaque côté du cou et adhérant à los hyoïde. Leau arrive à cesbranchies par la bouche, en passant par lintervalle des arceauxet, après les avoir baignées, en sort par une ou deux fentes exté-rieures. Lappareil respiratoire présente alors la plus grande res-semblance avec celui des poissons. Quelque temps après, les pat-tes postérieures se montrent et se développent petit à petit(fig, 893); leur longueur est déjà assez grande, quon ne voit pas. Fig. 893. — Têtard.


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