. Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles . ©e par 2^ parallèlement à la surface -Jj V. Un pointdun des triangles exprime la coëxistence du corps solide avec un liquidede même composition et avec de la va|)eur^ plus riche en un des con-stituants. Comme le solide et le liquideont alors même comj^osition^ nous con-naissons un point de la ligne de point du second triangle représentela coëxistence du solide avec un liquideet une vapeur^ Tun et Tautre plus richesen un des constituants. Si nous élevons la température da-vantage encore^ nous arrivons à la troi-siÃ
. Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles . ©e par 2^ parallèlement à la surface -Jj V. Un pointdun des triangles exprime la coëxistence du corps solide avec un liquidede même composition et avec de la va|)eur^ plus riche en un des con-stituants. Comme le solide et le liquideont alors même comj^osition^ nous con-naissons un point de la ligne de point du second triangle représentela coëxistence du solide avec un liquideet une vapeur^ Tun et Tautre plus richesen un des constituants. Si nous élevons la température da-vantage encore^ nous arrivons à la troi-sième position particulière de la ligneRS, notamment la position extrême^pour laquelle le solide et la vapeur peu-vent encore coëxister. La ligne BS estalors tangente à la ligne connodale pourle liquide et la vapeur. Mais en mêmetemj^s la ligne RS est tangente à ladeuxième branche de la même ligne con-nodale. La surface coni(|ue et les deux triangles sont jéduits à une point de cette droite exjjrime la coëxistence de trois phases. Or, à . DE léquilibre D^UN CORPS SOLIDE CO:\IPLEXE, ETC. 85 cette température le solide ne peut doue plus être eu équilibre quavecun seul liquide et une seule vapeur^, plus riches Tuu et lautre en celuides constituants^ dont laddition augmente la tension le long de la ligneconnodale pour le liquide et la vapeur. Au-dessus de cette température^la ligne ES a disparu pour la portion de la surface -Jy, relative auxvolumes gazeux^ et le solide ne peut donc ])lus coëxister quavec desphases liquides. A cette température limite^ il J ^ U-HS relation simpledune part entre les volumes dune quantité moléculaire dans les troisétats et les compositions dautre part. Cest la relation que lon obtientpar la propriété géométrique^ suivant laquelle les trois points_, exprimantces états_, sont situés sur une même droite. Soient /^^^ J^i et /^y ces vo-lumes et Xs,
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