Le theatre des Grecs . r» à fa manière de fupputer les années» par les Etés & par les Hyvers, fans» égard à rénumération, & à la fuite des» Archontes Athéniens, ou des autres,.j> foit Magiftrats foie Généraux, de quel-*> que païs, parce que cet autre fupputa*-5> tion nous jetteroit dans lembarras,» à caufe des divers commencemens de» leurs charges >r. VII. Je prie le Lecteur de ne pas-dédaigner ces recherches , fous pré-texte que leur objet eft de trouver lemot pour rire dans des Comédies. Jeconviens quil eft fâcheux pour ellesdavoir befoin de tant dapprêt pournous réjouir * & que
Le theatre des Grecs . r» à fa manière de fupputer les années» par les Etés & par les Hyvers, fans» égard à rénumération, & à la fuite des» Archontes Athéniens, ou des autres,.j> foit Magiftrats foie Généraux, de quel-*> que païs, parce que cet autre fupputa*-5> tion nous jetteroit dans lembarras,» à caufe des divers commencemens de» leurs charges >r. VII. Je prie le Lecteur de ne pas-dédaigner ces recherches , fous pré-texte que leur objet eft de trouver lemot pour rire dans des Comédies. Jeconviens quil eft fâcheux pour ellesdavoir befoin de tant dapprêt pournous réjouir * & que la fatyre perdune partie de fon prix , quand il fautla deviner. Mais tel eft le fort desplaifameries & des bons mots, Leux- PRELIMINAIRES. 3^9fel dépend de rapports fins, & dif-paroît avec eux en moins dun ficelé.Boileau a crû devoir fe procurer uftcommentaire de fon vivant. Molière enauroit prefque autant de befoin quelui; comment Ariftophane pburroit-il-s^en paffer ?. 37© FASTES DE LÀ GUERRE F A S T E S DE LA GUERREDU PELOPONNESE, Voxrfervir aux Comédies aAriflophane^ c Ommencement de la guerre duPéloponnéfe fous lArchonte Py-avâm J. thodorus au printems. Thucydide 1. la La véritable caufe de la guerre fut lafond, ^e jaloufie des Lacédémoniens au fujet Kome ,, . N . _ > 313. dAthènes, devenue trop hère & tropex.™*. pUi(fantei Les prétextes furent différen-»t*é ï. tes holtilites, entr autres le décret portede |a t contre les Mégariens * par Périclès; &Aicb. Périclès lui-même, qui craignoit de ren-f^h£JPf;dre compte en fut loccafion & le pro-mut ; moteur. La guerre, commença par la fur- àimas Pk ^e ^at^e ** » ou ^es Thébainsfurent tous tués. Quelques mois après ». * Mégare capitale de la Mégaride, Contréeentre Athènes & Corinthe.*»* Platée, ville frontière de Bcotiet. :Oil>!iun- OU PELOPONNESE. 5?îles Lacédémoniens firent le dégât dansle territoire de 1Attique , & campèren
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