. Les Français peints par eux-mêmes . p debdton.) MATAMORE, ODCc volubiUté. Ssis-Ui Ijicn à qui tu as aflaircJe suis le fameux Tranche-Montagne, le frrand exictminaleur,vainqueur et triom-pha-teur en cent mil-lions de com-bats. roucinsELLE. Bah! (Troisième coup de bdton.) LE MATAMORE, chantant. Tous les mu-res de mon pa-laisSont bà-lis des os des An-glais:Tou-tes mes cours en sont pa-véi sDes têt des gé-né-raus dar-mée,(lue jai tués dans les com-bats. En rniflant, papa. [Quatrième coup di bdton.) LE MATAMORE, reprenant sa déclamation saccadée. As-sez decoups de bâton, co-qu


. Les Français peints par eux-mêmes . p debdton.) MATAMORE, ODCc volubiUté. Ssis-Ui Ijicn à qui tu as aflaircJe suis le fameux Tranche-Montagne, le frrand exictminaleur,vainqueur et triom-pha-teur en cent mil-lions de com-bats. roucinsELLE. Bah! (Troisième coup de bdton.) LE MATAMORE, chantant. Tous les mu-res de mon pa-laisSont bà-lis des os des An-glais:Tou-tes mes cours en sont pa-véi sDes têt des gé-né-raus dar-mée,(lue jai tués dans les com-bats. En rniflant, papa. [Quatrième coup di bdton.) LE MATAMORE, reprenant sa déclamation saccadée. As-sez decoups de bâton, co-quin I tu li-ni-rais par me fâcher. Tiens, en voilà encore! LE MATAMORE. Jai pris—la résolution donc pas—me mettre—en colère; sans ce-la, ver de terre, il y a longtemps—que je tau-rais—exterminé. roLiciusELLE. Pau ! pan! [Coups de bdton multipliés.) LE MATAMORE. Com-ment, trai-lre, tu a-bu-ses de ma com-plai-san-ce. roiicniNELLE. lan ! pan ! LE MATAMORE. A la garde ! poi icMisELLE Pan ! pan I. LE MATAMORE, pliant la Icte sous les coups. Au vo-las-sas-sin!... au nicur-lre !.,. je suis mort. LE COMMISSAIRE. Ccst doiic toi, polisson, qui se permet das-sassiner les passants?roLiciMNELLE, effrontément. Oui, cest moi !LE COMMISSAIRE. Eh bien ! coquin, tu vas ètic Alors, ce nest pas COMMISSAIRE. En cc cas, tu ne seras pas \ELLE. Alors, cest moi. (.l/in do couper couit aux dilemmet un soldat apporte la la considère avec étcnnemént, et demande des ex-plications sur la manière de sen servir. LE SOLDAT, douc la première fois que tu es pendu ?roLicnisELLE. Ma foi, oui. rolicliiiielle feint de vouloir placer sa tète lenœud coulant; mais, par une adroite maladresse, il 3soin de la poser toujours au-dessus ou au dessous du cer-cle fatal. Pour mieux lui faire comprendre le jeu de lamachine, le soldai se met complaisamment la corde aucou ; funeste bonne foi, car le bou


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