. Histoire naturelle des oiseaux : suivant a classification de Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire ; avec l'indication de leurs moeurs et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture . elle prilère.(iest à celte rapacili (|ucllcdoit sou nom d< Fiscal, allu-sion assez peu tlatleuse pourlAdministration des âtons-nous de dire, pour lasatisfaction de noire orgueilnalional , que ce soiil les co-lons hollandais du Capipn ontbapliM la Pie-(;rieclir doni ilest ici cpiestion. \u reste,linstinct destructeur de cetOiseau le |)Ousse à des ra-pines superflues ; car il ne mange pas
. Histoire naturelle des oiseaux : suivant a classification de Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire ; avec l'indication de leurs moeurs et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture . elle prilère.(iest à celte rapacili (|ucllcdoit sou nom d< Fiscal, allu-sion assez peu tlatleuse pourlAdministration des âtons-nous de dire, pour lasatisfaction de noire orgueilnalional , que ce soiil les co-lons hollandais du Capipn ontbapliM la Pie-(;rieclir doni ilest ici cpiestion. \u reste,linstinct destructeur de cetOiseau le |)Ousse à des ra-pines superflues ; car il ne mange pas toutes ses vicii- riK-cnitciit ,.»., i.,n,iii, miirah . mes , et il v en a un grand nombre ([ui se dessèchent sur leur pal. Le Fiscal est criard, querelleur, vindicatit; ennemi detoute concurrence, il chasse d esl aussi une Espèce conininiic ilaiis r\rri(|nc iniridionalc. Son bec esl moins lorl. ■ A I \ \IILLK DKS Tl ItDIDKS. ■>{:, que celui <les préoédeules, et sua port la r:i|i|irnclii un peu îles Merles. Ell( a sept pouces etdemi de hauteur; les parties supérieures sont duu vert olive, le sommet de la tète est gris; uutrait noir part du beo, descend sur les côtés <lu cou, et sélargit en plastron sur la poitrine ; de làson nom vulgaire de MerJe à rol/icr. La gorge et les parties inférieures sont jaunes ; le bec et lespieds sont noirs. Cette éebe est peu farouche et très-babillarde. — Klli; fait entendre unchant particulier qui lui a valu son nom spécifique de Bacbackiri, et que Levaillant a noté : lesdeux premières syllabes sont bien ditachées, graves et sonores; les deux dernières sont aiguëset liées; quelquefois lavant-dernière note est haussée dune tierce, mais dans tous les cas ellene diffère de la suivante que d\ui demi-ton. Le mâle entonne ce chant dappel ipii na[iparMentipià lui : Itiii-hiirkhi : cl aussilôt la froicll
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