. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. 514 ' '. Oiseaux sont très-agiles et d'une pétulance extrême; ils fréquentent les livières, les élangs, les ma- rais, tous les lieux aquatiques; ils suivent aussi les bestiaux pour se repaître des Insectes et des Moucherons qui se rassemblent en grand nombr
. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. 514 ' '. Oiseaux sont très-agiles et d'une pétulance extrême; ils fréquentent les livières, les élangs, les ma- rais, tous les lieux aquatiques; ils suivent aussi les bestiaux pour se repaître des Insectes et des Moucherons qui se rassemblent en grand nombre autour d'eux. 11 est encore à remar(|uer que les Lavandières ou Bergeronnettes ne saulent point pour avancer, mais qu'elles marclient comme les Pluviers et ([u'ellcs trottent avec une vitesse extrême. Klles ont aussi la manière irès-particulière de voler par bonds et par sauts, de sorte qu'elles liècrivcnt dans cette action aniant de paraboles qu'elles donnent de coups d'ailes. On observe dans les Pics cette même manière de voler: aussi ai-je remarqué qu'elle n'a aucun rapport avec la coupe de l'aile, puisque les Pics, qui volent ainsi, ont les ailes différemment èlagées que celles des Lavandières. Cette manière de voler tient donc à une cause qui s'explique naturellement par celle dont ces Oiseaux ouvrent el ferment les ailes dans l'action du vol. En les ouvrant entièrement, ils sont nécessairement portés en haut, et ils décrivent une portion de cercle quelconque; en les refermant tout il coup, ils redescendeni et ai-lièvent la courbe qu'ils avaient commencée en s'élevant; mais on sent que ces courbes ou jiaraboles sont ]ilus ou moins con- sidérables, et qu'elles sont subordonnées ;\ la fréquence des coups d'ailes que donne l'Oiseau. (His- toire naturelle des irAfritiue.). Fis --I â Bergei'oneMo jiiunc. Cnvier le premier lit des lîergeronneltes deux genres; i&qu
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