Desseins de professions nobles et publiques : contenans plusieurs traités divers & rares : avec l'histoire de la maison de Bourbon . , comme vous, Monfieur,qui en produifés des fruits fi aviôs bien deçàdes exemplaires déloquence, de doftrine & de renomméeaufliàlamain, plufieurs grans hommes au Parlemant deParis,^uejhonore&refpe^teinfiniment: mais ny jenay Z iij DE LA eus ce commerce delétres que nous avons enfemblc,nyje ne puis ne montrer à mon fils lhôneur que je recoydevôtreamidérpourTangager de bone heure àla conti-nuer entre le vôtre (lequel il vous a pieu
Desseins de professions nobles et publiques : contenans plusieurs traités divers & rares : avec l'histoire de la maison de Bourbon . , comme vous, Monfieur,qui en produifés des fruits fi aviôs bien deçàdes exemplaires déloquence, de doftrine & de renomméeaufliàlamain, plufieurs grans hommes au Parlemant deParis,^uejhonore&refpe^teinfiniment: mais ny jenay Z iij DE LA eus ce commerce delétres que nous avons enfemblc,nyje ne puis ne montrer à mon fils lhôneur que je recoydevôtreamidérpourTangager de bone heure àla conti-nuer entre le vôtre (lequel il vous a pieu manvoyer icypourmevifiter en vôtre nom) Se luy qui fe dira vn jour,Dieuaydant,aufliheureusdemefucceder aus cônoillan-ces &: amitiés que je luy ay acquifes, comme à tout ce quejepourroy luy laiffer daillieurs. 0;»m in AfcAnio charijlat cura Parentù,Prenés vous à luy de céte faillie: Recevés ce petit gage denôtre vœu commun, &: aymés toujours avec le fils, le pèrequi eft MONSIEVR, vôtre treshumhle & àffeBionefervitcHf, D e Laval. De Moulins le quatrième DE LA IVRISPRVDENCE. S)z. DE LA IVRISPRV-DENCE, ET EN QVOY ELLE diffère des autres Sciences. Chapitre premier. Vand plufieurs chemins fe raportct àmelme gîte celuy eft coupable de la hon-te, de la peine &: de lincommodité receue,qui na voulu fanquerir du plus droit, duplus aifé & du moins periUeus, &: le choiiir,ayant eu le moyen de ce faire. Toutes guides ne font pasbônesentouschemiins. Ceft ce qui te pourroit peut-êtredivertir en ce palïiige, ômon fils, dajouter foy au confeilque je te veus dôner : duquel tu auras peine à me croire ca-pable,pource que jenay jamais fait àdeffus. Ce neftpasde la dodrine ausfonds que je te veus parler icy: cell du chemin poury al-ler du bien &: du mal de fon vfage, &: du tempérament quetous les bons vniverfellement doivét defireren cet exer-cice. La cônoiiîance que jay du monde : les affaires que jyay maniées: ma c
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