. Bulletin de la Société botanique de Genève. on qui a été décrite en détail dans le travailsur la Structure et la Biologie de deux algues pélagiques (4). Mais chez les Botryococcus, comme dans plusieurs Cyanophycées(Clathrocystis, Coelosphgerium), les cellules proprement dites noccu-pent que la périphérie ; si lapparence du thalle vu ert surface 284 BULLKÏJN DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENEVE (M) rappelle excessivement celle de la périphérie dun Botryococcus, ladifférence est quici chez le Gloecapsomorpha, au-dessous de. cescouches périphériques, il y a une direction centripète des cellules àc


. Bulletin de la Société botanique de Genève. on qui a été décrite en détail dans le travailsur la Structure et la Biologie de deux algues pélagiques (4). Mais chez les Botryococcus, comme dans plusieurs Cyanophycées(Clathrocystis, Coelosphgerium), les cellules proprement dites noccu-pent que la périphérie ; si lapparence du thalle vu ert surface 284 BULLKÏJN DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENEVE (M) rappelle excessivement celle de la périphérie dun Botryococcus, ladifférence est quici chez le Gloecapsomorpha, au-dessous de. cescouches périphériques, il y a une direction centripète des cellules àcontour bien conservé qui se continue jusquau centre de structureoù les vieilles cellules persistent tandis que les cellules périphériquessont encore en activité. Dès lors, lalgue en question Gloecapsomorpha prisca Zalessky nepeut être homologuée ni aux Gloecapsa ni aux Botryococcus. Nousnous sommes demandé au cours de ces recherches, si ces corpusculescérébriformes ne seraient pas uniquement des corpuscules orga-. Pig. 3. — Gloeocapsomorpha prisca Zalessky Dess. K. C- Gross. 720. niques sécrétés par des organismes danimaux et dont la matièrecolloïdale serait divisée irrégulièrement à la façon dun savon oudune grossière émulsion, mélange deau et dun substratum visqueuxqui lui donne lapparence réticulaire. Mais il faut abandonner lhypo-thèse pour les raisons suivantes : 1. La structure rayonnée habituelle est trop générale pour êtresimplement accidentelle (Fig. 4, p. 285). 2. La constatation dune réelle dichotomie à partir du centre. 3. Le bourgeonnement dont il a été question dans la descriptionde lalgue. Ce bourgeonnement se manifeste surtout à la périphérieet arrive à produire des thalles partiels qui sans doute se détachentdu thalle mère et reproduisent lorganisme. Ces prolifications en (12) 11. L1NDËNBE1N. LES PROTOPIIYCÉES 285 train de se dessécher se voient en bien des points dans les coupes ; etce nest que


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