. Les colonies français. de ceuxdes mosquées de Tunis, etdont lintérieur reproduit ladisposition typique dune salledes palais mauresques (1),lAdministration du protecto-rat a cherché à grouper desdocuments et des spécimenscapables de donner aux visi-teurs de lExposition une im-pression sommaire mais exactedes ressources de la Tunisie,de son passé, de son dévelop-pement économique actuel etdes progrès quelle but est de créer de nou-velles relations entre la Ré-gence et lEurope centrale, re-lations que doivent faciliter, ànotre époque, le développement du tourisme, la rapidité et l
. Les colonies français. de ceuxdes mosquées de Tunis, etdont lintérieur reproduit ladisposition typique dune salledes palais mauresques (1),lAdministration du protecto-rat a cherché à grouper desdocuments et des spécimenscapables de donner aux visi-teurs de lExposition une im-pression sommaire mais exactedes ressources de la Tunisie,de son passé, de son dévelop-pement économique actuel etdes progrès quelle but est de créer de nou-velles relations entre la Ré-gence et lEurope centrale, re-lations que doivent faciliter, ànotre époque, le développement du tourisme, la rapidité et la mul-tiplicité des transports et dont la résultante définitive sera unaccroissement des échanges commerciaux et industriels. Baignée au nord et à lest par la Méditerranée, placée à la sépa-ration du bassin occidental et du bassin oriental de cette mer, enface de la Sicile, de Malte et de la Sardaigne, la Tunisie touche parsa frontière de louest, à lAlgérie, et par le sud, au désert (phot .Deconcloit, Tunis) M. S. PlCHON Résident général de France. (!) Le Pavillon de la Tunsie ;i lExposition de Liège a été construit daprès les plansde la Direction générale des travaux publics de Tunisie, sous la surveillance de M. Decron, architecte de la section des colonies et pays de protectorat. — 300 — Sous des aspects variés, depuis les montagnes boisées de la Khrou-mirie jusquaux oasis du Djerid et aux steppes qui les environnent,cest lOrient aux portes de lEurope. Dautre part, le régime né du traité du Bardo qui, depuis 1881,a maintenu à la Tunisie son autonomie administrative sous le pro-tectorat français, constitue au point de vue économique et colonial,un sujet détude des plus intéressants. Il suffira dindiquer que, depuis ce traité, la Régence, tout enassurant le service de la Dette publique antérieure, a créé avec sespropres ressources quatre ports accessibles aux navires de fort ton-nage (Tunis, Sousse, Sfax, Bi
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