. L'ami des enfants . sion de deux louis dor pour lavoir délivré dun défaut si insuppor-table. MADAME DE VALENCE. —Et uiol, je lui cu fais unc de la mùuie sommepour avoir conservé mon fils. ibô LA VANITÉ PUNIE MATTHIEU. — Si VOUS me payez pour le plaisir que vous avez, il faudraitdonc que je vous payasse aussi, de mon côté, pour celui que jai eu. Ainsi,quitte à quitte. M. DE VALENCE. — Non, mou petit ami, nous ne reviendrons pas surnotre parole. Mais nous allons déjeuner tous les quatre ensemble. Valentinnous racontera ses aventures nocturnes. VALENTIN. — Oui, mou papa, et je ne mépargnerai po


. L'ami des enfants . sion de deux louis dor pour lavoir délivré dun défaut si insuppor-table. MADAME DE VALENCE. —Et uiol, je lui cu fais unc de la mùuie sommepour avoir conservé mon fils. ibô LA VANITÉ PUNIE MATTHIEU. — Si VOUS me payez pour le plaisir que vous avez, il faudraitdonc que je vous payasse aussi, de mon côté, pour celui que jai eu. Ainsi,quitte à quitte. M. DE VALENCE. — Non, mou petit ami, nous ne reviendrons pas surnotre parole. Mais nous allons déjeuner tous les quatre ensemble. Valentinnous racontera ses aventures nocturnes. VALENTIN. — Oui, mou papa, et je ne mépargnerai point sur le ridiculeque je mérite. Jen veux rougir encore aujourdhui, pour navoir jamaisplus à en rougir. M. DE VALENCE. — 0 mou fils ! Combien tu nous rendras heureux, tamère et moi, en nous prouvant que ton changement est sincère et quil sera sans retour ! (Valentin prend MaUliicu parla main ; M. de Valriice présente la sienne à sa roiumc, oL ilspassent tous ensemble dans le salon voisin.). VEpée M. DORVAL. AUGUSTE, son fils. HENRIETTE, sa é, ami dAuguste. PERSONNAGES RENAUD i,EC.\DET, / DUPRÉ i,.\ixK, amis dAususle. \ DUPRE LR CADET. , domestique de Al. d-di-val. La scène eut à Paria, dans lappartement dAuguste. SCÈNE PREMIÈRE AUGUSTE Ah! cest aujourdhui ma fête ! On a bien fait de men avertit- ; je nemen serais jamais avisé. Ron ! Cela me vaudra encore quelque chose demon papa. Mais quoi? voyons : que me donnei^a-t-il? Champagne avaitquelque chose sous son habit lorsquil sest présenté chez mon papa. Il napas voulu me laisser entrer avec lui. Ah! sil ne fallait pas avoir aujour-dhui lair un peu plus composé, je lui aurais bien fait montrer de force cequil portait ! Mais chut ! je vais le savoir. Voici mon papa. SCÈNE II M. DORVAL, lenanl àlaiiiaiu une épée avec le ceinlurou. .VUGUSTE M. dorval. —Te voilà, Auguste? Jai déjà eu le plaisir de tannoncerta fête ; mais ce nest pas assez, nest-ce pas ? 1


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