Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . 54 MEMOIRES fiicccda, fins quil paroKîê avoir trouve aucune contradj(?lî)mi) elle-mcme redoutant, à la mort de Ton fils, le cour-roux dAntipater, alla chercher une retraite auprès d^î^acidas;fi ce Prince eut régné aux dcpens des enfants de (a fille & deIon frère, Olynipias luy auroit elle fufpede, &. fur-tout ducaraclcre dont elle eiloit. Il fe fêroil lié avec Antip
Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . 54 MEMOIRES fiicccda, fins quil paroKîê avoir trouve aucune contradj(?lî)mi) elle-mcme redoutant, à la mort de Ton fils, le cour-roux dAntipater, alla chercher une retraite auprès d^î^acidas;fi ce Prince eut régné aux dcpens des enfants de (a fille & deIon frère, Olynipias luy auroit elle fufpede, &. fur-tout ducaraclcre dont elle eiloit. Il fe fêroil lié avec Antipater, pourfe maintenir fur le irone; au , il fut toujours fonennemi & celuy de Callànder, & relia inviolablement attachéà Oiympias. Cet attachement pour cette Princellë, fut caufèqu^acidas fijt chalié par lès fujets, Tept ans après la mortdAlexandre le Grand. Pour Cléopatrc veuve du Roy dEpire, Eumenès vouloitla faire époufer à Perdiccas ; mais fon frère Alcétas luy préférer Nica:a fille d Antipater. Nica-a répudiée, Perdiccas ^ iê préparoit de nouveau à époufer Cléopatre, lorfquii tut tuédans une icdition. Jujf. lit. tj:tap. cpud. DE LITTERATURE. 355 DU SOUVERAIN PONTIFICAT DES EMPEREURS ROMAINS. Par M. le Baron de la Bastie. LA liaifon ciroite quil y a toujours eu dans les Etats ArtcmMc^ entre la Religion &. le Gouvernement politique, fit pul^iquc. jKnlèr aux Empereurs Romains que pouredre maîtres abfolus ^Novemb. dans lEmpire, il elloit ncceflaiie quils fulîènl revt^lus dune 737dignité de la<]uelle dtjxjndoit tout ce qui appartenoit auculte des Dieux. Cette dignité elloit le Souverain Pontificat,dont linllilution remontoii jufcjuau premier (léclcde Rome; car il a\ oit cdé établi par le Ro) Numa Pompilius, auteur de pittnrch NutHi ia ))lus grande partie du culte religieux tics Romains. {S- <^/- Mon delfcin nefl pas de traiter ici tout ce qui regarde le droit Ponlilical de lancienne Rome
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