. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 230 ROUVIKR. {190*'2, 082) a sip^nalé déjà les analoj^ies étroites qui existent entre le Tlifjrolanihnt'st faiblement en contact avec le front chez les Thi/rulambriis (autant (ju'on en peut juger du moins d'après la description des auteurs) et les chélipèdes se terminent par des pinces plus grêles que celles des Parthenopoi- des^ plus longues aussi et terminées par des doigts plus dévelop- pés. L'identification des deux genres me paraît probable, mais je crois devoir la laisser en doute car je n'ai


. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 230 ROUVIKR. {190*'2, 082) a sip^nalé déjà les analoj^ies étroites qui existent entre le Tlifjrolanihnt'st faiblement en contact avec le front chez les Thi/rulambriis (autant (ju'on en peut juger du moins d'après la description des auteurs) et les chélipèdes se terminent par des pinces plus grêles que celles des Parthenopoi- des^ plus longues aussi et terminées par des doigts plus dévelop- pés. L'identification des deux genres me paraît probable, mais je crois devoir la laisser en doute car je n'ai eu jusqu'ici aucun TJnp'oJatiihrus entre les mains. Quoiqu'il en soit, les PartJienopoides Qi les Jliyrolainbnis sont à coup sûr très voisins des Parthenope, mais ils sont à un degré d'évolution plus avancé et s'éloignent davantage des formes du groupe des Lambrus parce que l'article basai de leurs an- tennes entre en contact avec le front. Chez les Pai't}ienope, en effet, le déve- loppement de cet article est remarqua- blement plus grand que chez les Lam- brus, mais non assez, toutefois, pour qu'il y ait contact avec le front ; entre ce dernier et le bout distal de l'article mm.); l'individu est 1res reste un léger intervalle (fîg. 19), qui jeune de sorte que l'ar- .^^^^^ >^ ^^^^^ ^.^^j^j^ -^ ^^^ \\v[:vd& ticle basai des antennes *- ^ est encore assez éloigné basilaire des antennules d'entrer en relation avec l'hiatus orbitaire. Les figures de divers auteurs ont mis ce caractère en évidence très nette dans la Parlhenopp, horrida, la P. spi- nosissima A. Milne-Eiavauds, et la P. Boucieri A. jNLlnk-Edwards, où d'ailleurs il est très facile à constater ; on l'observe égale- ment dans le P. trigonaA. Milîne-Edwards, dont le type se trouve au Muséum, et c'est aussi, d'après M. Alcock, le caractère générique essentiel de la P. investigatoris Alcock et de la P. efflori'.scens


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