Économie politique chrétienne, ou, Recherches sur la nature et les causes du paupérisme, en France et en Europe : et sur les moyens de la soulager et de le prévenir . offrent toujours une proportion beaucoup plus considé-rable que les campagnes. Cette proportion varie de l5 àl[lo, tandis que , dans les campagnes , elle nest que de1|50 à 1,100. Ces observations acquerront plus de force par les dé-tails que nous allons présenter sur le nombre , la situationet la répartition des pauvres en Erauce. (i) ?*ous avons cru devoir suivre, en cette circonstance, rexcm|iledonne dabord par M. Malte-Brun et
Économie politique chrétienne, ou, Recherches sur la nature et les causes du paupérisme, en France et en Europe : et sur les moyens de la soulager et de le prévenir . offrent toujours une proportion beaucoup plus considé-rable que les campagnes. Cette proportion varie de l5 àl[lo, tandis que , dans les campagnes , elle nest que de1|50 à 1,100. Ces observations acquerront plus de force par les dé-tails que nous allons présenter sur le nombre , la situationet la répartition des pauvres en Erauce. (i) ?*ous avons cru devoir suivre, en cette circonstance, rexcm|iledonne dabord par M. Malte-Brun et adopte par M. le baron Cliarles Dupin,relativement a la situation de la Fiancc sous le rapport de Tinstructionélémentaire. M. ^I. Gucrry en a fait une application licureusc dans sonEssai sur la statistique morale du la France. Economie Politique Chrétienne, Tome H, Livre II, Ea^e 12. ]p^ enSwmBiPii, ^TU, /. Angleterre O. â. AutrccAe- . / y. 2)ccae-t7harc7c / 8 Jtalie^ / ^ Pcrtzc^aZ, / ^/. îspccçne- . f „ Jo /2. J^usse^ / „ Je ^4- ? Russie 2Ji I Lî^-Zkr ik^ ter o^scurej-eic j-e ù-cicvent/ ie dIus 2(P V,o. M liCONOilIE iOLITlQLE CUULTIEXM!, ia tievé jusquà dix millions (1). Un jurisconsulte (2) quia examiné les droits des pauvres et des mendians à un se-cours l(gal, a supposé, daccord avec le comité de men-dicité de rassemblée législative, que le nombre des indi-gens du royaume pouvait être de l,oOO,000 à , le baron Degérando (5) pense que la populationpauvre de la France nest guère que dun trentième oud un quarantième dans les campagnes, tandis que, dansles grandes villes, elle sélève presque jusquau e/wg^Mïèmi?,indépendamment du nombre des pauvres reçus dans lesbopitaux et dans les hospices. Il croit que la proportionmoyenne est à peu près dun vingtième dans la capitale ,mais quun grand nombre de causes tendent à y augmenterla population indigente , ne fût-ce que la multiplicité desp
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