. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 'Voù P. Lesne. duellement plus forte et plus dense en arrière. La déclivité apicale est conformée de même dans les deux sexes; sa surface fortement ponc- tuer, et entièrement couverte d'une pubescence couchée, dense, très fine et extrêmement courte. A son bord supérieur, la déclivité pré- sente de chaque côté deux fortes épines costiformes dont l'externe est plus grande; au bord latéral, au niveau du milieu de la hauteur de la 370. 369 36: 368 Fig. 367 à 370. — .Xylion plurispinis. Déclivité apicale des élytres, vue de dessu
. Annales de la Société entomologique de France. Insects; Entomology. 'Voù P. Lesne. duellement plus forte et plus dense en arrière. La déclivité apicale est conformée de même dans les deux sexes; sa surface fortement ponc- tuer, et entièrement couverte d'une pubescence couchée, dense, très fine et extrêmement courte. A son bord supérieur, la déclivité pré- sente de chaque côté deux fortes épines costiformes dont l'externe est plus grande; au bord latéral, au niveau du milieu de la hauteur de la 370. 369 36: 368 Fig. 367 à 370. — .Xylion plurispinis. Déclivité apicale des élytres, vue de dessus (fig. 367), de profil (chez le çf) (fig. 368) et de trois quarts (chez la Ç) (fig. 369). Derniers segments abdominaux de la O (fig. 370). déclivité, existe une autre épine, plus grande que les précédentes, co- noïde, et dont la pointe est incurvée en dedans. Le bord inférieur de la déclivité est profondément échancré de chaque côté. Chacune de ces échancrures. dont les bords sont légèrement en saillie, est limitée par deux lobes, l'un externe, légèrement réfléchi au bout, l'autre suturai brusquement réfléchi parallèlement à l'axe du corps en une pointe aiguë, émoussée au sommet. Suture largement renflée en bourrelet dans la moitié inférieure de la déclivité et munie à la limite supérieure de ce rendement de deux fortes épines coniques, contiguës à la base. Abdomen densément et finement pubescent. 2e et 3° articles des tarses postérieurs subégaux, l'un et l'autre à peine plus longs que le dernier. (5 Ponctuation de la déclivité apicale plus forte et moins régulière que chez la ç. Épines élytraies un peu plus épaisses. Échancrure api- cale de l'élytre simple. Pièces pleurales du dernier segment abdominal larges, rapprochées en arrière. 9 Lobe apical externe de l'élytre faiblement denté au bord interne, plus nettement réfléchi au sommet que chez le c1- Dérider segment ab-. Please note that
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