. Dictionnaire d'horticulture illustré / par D. Bois préface de Maxime Cornu avec la collaboration de E. André ... [et al.].. Horticulture; Fis. 564. - Marcottage de L'Åillet. D. Marcottage en serpenteau et M. par cou- chage continu. â Lorsqu'on a affaire à des es- pèces dont les tiges sont très longues et très flexibles, comme c'est le cas pour les Ampé- lopsis, Aristoloches, Celastrus scandens, Cléma- tites, Marsdenia, Periploca, Vignes, etc., on peut alternativement coucher et relever ces. Fig. 566. â Marcottage en tiges, de manière à leur faire décri
. Dictionnaire d'horticulture illustré / par D. Bois préface de Maxime Cornu avec la collaboration de E. André ... [et al.].. Horticulture; Fis. 564. - Marcottage de L'Åillet. D. Marcottage en serpenteau et M. par cou- chage continu. â Lorsqu'on a affaire à des es- pèces dont les tiges sont très longues et très flexibles, comme c'est le cas pour les Ampé- lopsis, Aristoloches, Celastrus scandens, Cléma- tites, Marsdenia, Periploca, Vignes, etc., on peut alternativement coucher et relever ces. Fig. 566. â Marcottage en tiges, de manière à leur faire décrire des on- dulations successives et plus ou moins nom- I breuses. (Fig. 566.) Les parties enterrées (B) permet d'expédier au loin des chevelées bien s'enracinent, tandis que les bourgeons laissés enracinées et de les transplanter avec toutes i à l'air (D) se développent. Il suffit de sec- les chances de succès, ! tionner en conservant des C. Couchage multiple ou M. chinois. â Si les branches cou- chées , au lieu d'être simples, sont plus ou moins bifurquées ou ramifiées et si chacune des ramifications est traitée comme une M. ordinaire, on obtiendra au- tant de nouveaux exemplaires qu'il y a de ramifica- tions. C'est le M. multiple ou M. chinois. Il peut s'employer pour un certain nom- bre d'espèces très brançhues, comme les Ber- beris, les Cotone- aster, divers Deutzia, les Fon- tanesia, etc. Une modification importante du C. multiple est quelquefois appliquée à îa Vigne : le sar- ment est couché horizontalement, dans une rigole, sur la plus grande partie de sa lon- gueur (A, B, C, fig. 565); seule l'extrémité est relevée; on la laisse ainsi à découvert jusqu'à ce que les bourgeons qui se développent sur le sarment aient atteint 50 ou 60 cm.; on comble alors la rigole; après l'hiver, chacun des bour- ) geons (a, 6, c, g, fig. 565) est séparé avec un. Please note tha
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