Revue de l'art chrétien . tante publicationconsacrée par M. Max Diihlberg aux primitifshollandais, peintres dAmsterdam, Leyde etHaarlem, très négligés jusquà présent, dontbeaucoup dœuvres sont détruites et celles quidemeurent, très dispersées (col. 353-362 etI planche). — M. Max Hasak revient sur quelques datesquil a attribuées à certaines œuvres dans sonHistoire de la sculpture allemande au XIII siè cet ouvrage il avait fondé sa chronologiesur la perfection du modelé, la daté de décès despersonnages dont il étudiait les monuments funé-raires, la comparaison de la sculpture ornemen-tal


Revue de l'art chrétien . tante publicationconsacrée par M. Max Diihlberg aux primitifshollandais, peintres dAmsterdam, Leyde etHaarlem, très négligés jusquà présent, dontbeaucoup dœuvres sont détruites et celles quidemeurent, très dispersées (col. 353-362 etI planche). — M. Max Hasak revient sur quelques datesquil a attribuées à certaines œuvres dans sonHistoire de la sculpture allemande au XIII siè cet ouvrage il avait fondé sa chronologiesur la perfection du modelé, la daté de décès despersonnages dont il étudiait les monuments funé-raires, la comparaison de la sculpture ornemen-tale gothique avec la sculpture française de mêmeépoque. Des documents historiques, textes écritsou inscriptions, lui permettent maintenant dedater plus exactement deux tombes en bronzede Magdebourg, un monument funéraire deBrunswick, des statues du portail de la cathé-drale de Miinster {Zur GescJiichte der deutschenBildwerke des , col. 369-380 et 4 fig.). 132 Bebuc be rSrt cfjré Croix émaillée de la collection SchnUtgeii, XIV siècle. LART FLAMAND ET HOLLANDAIS, janvieret février, 1907. On conserve au musée néerlandais dAmster-dam des statuettes de laiton bien connues, oùlon a cru voir les effigies de princes bourgui-gnons. M. F. Schmidt-Dugener y a reconnu deuxgroupes distincts, lun paraît dessiné sous lin-fluence de Claus Sluter, le second aurait été conçu par Jean Van Eyck. Cette dernière etsensationnelle attribution repose sur létude desdétails et le rapprochement avec des œuvres dumaître. En outre, sept des neuf prétendus per-sonnages princiers ne seraient autres que lesfigures symboliques des Vertus M. E. Maie, dans son ouvrage important,VArt religieux du XIII^ siècle, dont nous avons Idtbliograpbic, m parlé en son temps, a étudié liconographie desVertus depuis le V^ jusquau XlVe siècle. M. nous donne une suite de cette étude pourle XVe siècle. Il nous décrit dabord une tapisserie superbedu XV


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