. Contes roses . JEAN LOURS. 9 — Hélas, disait la femme, tu naurais point le cœur de le soit plus méchant quun démon, il est notre fils. —- Eh quoi, répliquait le bûcheron, préfères-tu donc le voirmourir de faim sous tes yeux, puisque tu ne peux le nourrir. Enfin, ils se résolurent à laller abandonner dans le bois. Le bùclieron séloigna, emportant sur son dos le nouveau-néquil avait été forcé de mettre dans un sac pour se garer de ses lamentations de la mère étaient si hautes et si perçantes quil lesentendait encore à plus de cent pas de sa cabane. 11 se dirigea vers l
. Contes roses . JEAN LOURS. 9 — Hélas, disait la femme, tu naurais point le cœur de le soit plus méchant quun démon, il est notre fils. —- Eh quoi, répliquait le bûcheron, préfères-tu donc le voirmourir de faim sous tes yeux, puisque tu ne peux le nourrir. Enfin, ils se résolurent à laller abandonner dans le bois. Le bùclieron séloigna, emportant sur son dos le nouveau-néquil avait été forcé de mettre dans un sac pour se garer de ses lamentations de la mère étaient si hautes et si perçantes quil lesentendait encore à plus de cent pas de sa cabane. 11 se dirigea vers le plus épais de la foret et, parvenu non loinde lendroit où se trouvait la caverne de lourse, il fit halte devantun gros chêne dont la foudre avait évidé le tronc. 11 tira ,Iean de sonsac, le déposa dans le creux de larbre et senfuit, pleurant et courant,sans détourner la tête. y Ké^^^^
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