. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. LES THEORIES DU TROPHOGÅLE. 125. ^vâ\^_^ â FiG. 8. â Coupe transversale schématique de Dinojjhiliis Conklini au niveau de l'ovaire et du vaisseau ventral. derme et le parenchyme, d'ailleurs clairsemé au point de former une véritable cavité du type spongieux, faisant ainsi reconnaître ce dernier pour un cÅlenchyme incontestable (cÅ). Il est du reste parfaitement endigué par rapport à celui-ci et renferme un liquide tout différent. En haut, il forme un cul-de-sac qui est le rudiment du vaisseau dorsal ; dans s
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. LES THEORIES DU TROPHOGÅLE. 125. ^vâ\^_^ â FiG. 8. â Coupe transversale schématique de Dinojjhiliis Conklini au niveau de l'ovaire et du vaisseau ventral. derme et le parenchyme, d'ailleurs clairsemé au point de former une véritable cavité du type spongieux, faisant ainsi reconnaître ce dernier pour un cÅlenchyme incontestable (cÅ). Il est du reste parfaitement endigué par rapport à celui-ci et renferme un liquide tout différent. En haut, il forme un cul-de-sac qui est le rudiment du vaisseau dorsal ; dans sa partie infé- rieure, il est doublé au niveau des organes génitaux par un vaisseau ventral (vv) indépen- dant qui s'y jette aux deux extrémités, et dans cette partie seule, où cette disposition per- met la circulation, il se contracte, de bas en haut comme toujours. Ceci permet de conclure à peu près à coup sûr à l'existence anté- rieure d'un cÅlothèle, car le décollement individualisé entre l'endo- derme et le mésoblaste n'aurait pu se produire si celui-ci avait toujours été à l'état spongieux et par contre-coup rend très probable que les Platodes qui ne montrent nulle trace même rudimentaire d'hémocÅle n'ont jamais eu de cÅlothèle. Chez les Mollusques, le fait que le péricarde est le dernier reste de la cavité cÅlomique (fig. 9), indique déjà les rapports du système sanguin avec celle-ci ; la contractilité s'est localisée à la partie inférieure du vaisseau dorsal, qui forme l'aorte, au lieu de la supérieure comme chez les Annélides. Mais la différence principale avec celles-ci est que les vaisseaux, souvent peu développés, se sont ouverts dans les lacunes du cÅlenchyme (le) par lesquelles ils passent dans les branchies et reviennent au cÅur ; l'hémocÅle ou le blastocÅle n'est plus une cavité distincte de celle qui occupe les mailles du c
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