. Contes roses . que le père sen mêlât pour contraindre son fils à lâcher prise —encore fut-il, ce faisant, gratifié de quelques bonnes morsures. Les pauvres gens se regardaient, consternés, ne sachant à quelsaint se vouer, cependant que Jean lOurs se démenait comme unbeau diable dans son berceau, rompant à coups de poing et de talonsle bâti dosier, mettant en pièces draps et couvertures. Ils tombèrentdaccord quils ne pouvaient le garder auprès deux, et se demandèrentavec angoisse ce quils allaient faire de


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