Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . Marégiaphe à cylindre horizontal. placé dans ce puits transmet son mou-stylet, qui trace une courbe sur une feuillelaot proportionnellement aux temps. Les courbesobtenues permettent de déterminer les éléments des ma-rées et de faire les calculs nécessaires à létabUssementdes tables. MARÈGUE {règh) n. f. Gros tissu de laine, dont on faitdes limousines pour les charretiers. MARÉKANITE OU MARÉCANITE n. f. Variété de pétro-silex. MARELLE irèV — autref. mérelle, forme fém. do mê-REAU) n. f. Jeu denfants, n Figure tracée pour ce jeu
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . Marégiaphe à cylindre horizontal. placé dans ce puits transmet son mou-stylet, qui trace une courbe sur une feuillelaot proportionnellement aux temps. Les courbesobtenues permettent de déterminer les éléments des ma-rées et de faire les calculs nécessaires à létabUssementdes tables. MARÈGUE {règh) n. f. Gros tissu de laine, dont on faitdes limousines pour les charretiers. MARÉKANITE OU MARÉCANITE n. f. Variété de pétro-silex. MARELLE irèV — autref. mérelle, forme fém. do mê-REAU) n. f. Jeu denfants, n Figure tracée pour ce jeu. — Encycl. Il V a deux sortes de jeux de marelles : lunjeu de calcul (là marelle assise), et lautre jeu dadresse,que lon appelle marelle à cloche-pied. Marelle à cloche-pied. On trace sur le sol une figurodans le genre de celles que nous représentons, mais dontla composition des cases varie au gré des joueurs. Chaque. O Marelles : A, ordinaire ; B, des jours ; C, ronde ; D, assise (simple) ;E, assise (triple). loueur est muni dun palet, et, placé devant la marelle, iljette ce palet dans la première case. Puis, allant à clochô-piod, il pousse du le palet pied et sefforce de le faire sortirde la marelle en le ramenant au point de départ. Le coupréussi, il jette le palet dans la seconde case, et procède demôme ; il le jette ensuite dans la troisième, etc. Si le palet 927 sarrête sur une raie ou sil passe par les côtés de la ma-relle ou par les flammes (quarts do cercle que loa traceaux doux coins sur la base du premier roctanyIo\ le coupest manqué et lo joueur cède le tour ù un autre. Les der-nières cases portent des noms fantaisistes : paradis, enfer,reposoir, table, lune, etc. Au paradis et au reposoir, on peutmettre les doux pieds; si le joueur (ou son palet) entre enenfer, il doit recommencer le jeu. La marelle a une foulede variantes. Marelle assise. On trace sur la terre, sur un
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