. Droit public de France : ouvrage posthume de M. l'Abbé Fleury, composé pour l'éducation des Princes, et publié avec des notes . famille. Vous lui avezprocuré une proted:ion que je ne puis alTezreconnoître. Il eft jufte que je mefforce à lamériter , m à juftifier les bienfaits dont ellenous a comblés. Ses grâces , Monfiicur , nefont pas tombées fur des cœurs fecs & arides»Dès le grand matin , le premier à louvrageavec ma digne époufe , j encourage mes en-fans par mon exemple à mériter les béné»diétions du ciel, & à les attirer abondam-ment fur nos Bienfaiteurs. Jofe donc vousfupplier , Monfic
. Droit public de France : ouvrage posthume de M. l'Abbé Fleury, composé pour l'éducation des Princes, et publié avec des notes . famille. Vous lui avezprocuré une proted:ion que je ne puis alTezreconnoître. Il eft jufte que je mefforce à lamériter , m à juftifier les bienfaits dont ellenous a comblés. Ses grâces , Monfiicur , nefont pas tombées fur des cœurs fecs & arides»Dès le grand matin , le premier à louvrageavec ma digne époufe , j encourage mes en-fans par mon exemple à mériter les béné»diétions du ciel, & à les attirer abondam-ment fur nos Bienfaiteurs. Jofe donc vousfupplier , Monficur, de faire parvenir cesièntimens & mon Ouvrage , jusquà lilluftrcMademoifelle de Tourbes. Jirois moi-mêmeles mettre à fes pieds, fî lhiver , lenfluredes pieds , & les ordres de la Médecine , neme retenoient pas abfolument dans le Cabi-net. Je fuis avec une reconnoilTance forerefpeAueufe & fort vive, Mon sieur. Ce i4 Février Votre très-hurable & très-1731. obéilfant Serviteur, Pasqui£R raîné,Avocat, piéce;s diverses CONCERNANT LE DROIT PUBLIC . Par M. lAbbé EXTRAIT DELA RÉPUBLIQUE DE PLATON» M=^^ A jiiiîicene condûe pas feu- j^|_L^|h^Iement à dire la vérité & j^^^^;^^J^^^X rendre à chacun ce qui lui tionGrecqilêappartient; autrement, il faudroit^*^^^^^534rendre à un furieux des armes quil ^^»- 37*-auroit prêtées étant fage. Il faudroic rendre le bien à Tesamis , Se le mal à Tes ennemis. Ainficomme Ton peut fe tromper dansJe choix , on feroit quelquefois dubien aux méchans , & du mal auxbons. Dailleurs la juflice ne peutjamais nuire à perfbnne. Car nuireà quelque chofe ceil la rendre , la juflice eft une vertu qui ne ^ ^^^•peut rendre pire ni lhomme jufte ,ni un autre. ^ Définition de Thrajimaque, La juf-tice eil ce qui convient au plus aij (4)_fort. Chaque Etat fait des Loix a ^•^7^* fon avantage , & le déclare jiiflepour les Particuliers, & punit celuiqui y contrevient. Réponfc de Socrate, Ceux q
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