. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . Moyens de fe préferver des dïverfes efpeces déPulmonie & de la Ccnfomptlon. Nous ne pouvons finir ce Chapitre, fans recom- Les pré très-férieufement à tous ceux qlii cherchent Tf/^**^ **^ \ r ? \ \- r r i / • i Maladies a le garantir des diveries elpeces de pulmomes^ de font, lexer-prendre autant ^exercice en plein ^ir quils le pour- ^^^^ le bpii jw • -i • 1 V • o J Lr 1 air & la fo«3 ront j d éviter tout air mal-lain, & d ooierv


. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . Moyens de fe préferver des dïverfes efpeces déPulmonie & de la Ccnfomptlon. Nous ne pouvons finir ce Chapitre, fans recom- Les pré très-férieufement à tous ceux qlii cherchent Tf/^**^ **^ \ r ? \ \- r r i / • i Maladies a le garantir des diveries elpeces de pulmomes^ de font, lexer-prendre autant ^exercice en plein ^ir quils le pour- ^^^^ le bpii jw • -i • 1 V • o J Lr 1 air & la fo«3 ront j d éviter tout air mal-lain, & d ooierver la bàété.fobriété la plus fcvere. i jca?^* ;? Si la pulmoîûe eil devenue lî fréquente aujour-dhui, on ne doit pas peu lattribuer à la mode defe coucher tard \ de faire de grands foupers, & depaffer toutes les foirées à boire du vin ^ ou autourdune jatte de punchy &:c. Ces liqueurs, quand onen fait un trop grand uiage, non-feulement nui-fent à la dïgefiion & ôtent lappétit, inais encoreenflamment Icfangj & portent le feu dans laco/z/-iituùoni (Voyez ci-devant, note 14 de ce k 2 xSÈcoNDE Partie, Chap. VIII, §. I. CHAPITRE VIII. Des Fièvres lentes, ou nerveufes, rcnrquoi T Es fievres nehcufcs fonc aujourdhui très-com-ccs fièvres g ^ murvcs parmi nous. Sans doute quelles ne font font au|nur- , , ^ , ? > n r • i dhuiiî corn-dues <]u au changement qui s elt fait dans notremuncs, & manière de vivre ôc à lu multiplicité des travauxce^ux qVi y Sédentaires : car les perfonnes qui y font le plusfonr le plus expofées, font celles qui ont une conjluution foi-cjipo es. j^ig ^ relâchée \ qui négligent Vexercice ; qui pren-nent des aliments trop peu folides ; qui le livrentà létude avec trop dopiniâtreté , ou qui fe permet-tent un trop grand ufige des liqueurs jortes. ( Lifez,avant que daller plus loin, les Chap. 1 & II decette féconde Partie. ) §. I. Caufes des Fièvres lentes~nerveufes. les pafîîoiis


Size: 2341px × 1067px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1700, bookdecade1780, bookpublishe, booksubjectmdecine