. Bruxelles à travers les âges . Le comte Henri de Mérode, dont la femme a été pendant longtemps damedhonneur de la reine, a laissé quelques notes intéressantes sur Louise-Marie, sursa mère et sur les princes dOrléans, qui venaient souvent séjourner pendant lété auchâteau de Laeken, ou en hiver à Bruxelles, pour assister à quelque fête ou quelquesolennité publique. (i) Mémoires et Souvenirs sur la Cour de Bruxelles et sur la société belge, par Roger et Ch. de Ch. Bruxelles, iS56. 3g: BRUXELLES MODERNE. « Quelques jours après larrivée de la reine en Belgique », écrit-il, « je dinais àLaeken.


. Bruxelles à travers les âges . Le comte Henri de Mérode, dont la femme a été pendant longtemps damedhonneur de la reine, a laissé quelques notes intéressantes sur Louise-Marie, sursa mère et sur les princes dOrléans, qui venaient souvent séjourner pendant lété auchâteau de Laeken, ou en hiver à Bruxelles, pour assister à quelque fête ou quelquesolennité publique. (i) Mémoires et Souvenirs sur la Cour de Bruxelles et sur la société belge, par Roger et Ch. de Ch. Bruxelles, iS56. 3g: BRUXELLES MODERNE. « Quelques jours après larrivée de la reine en Belgique », écrit-il, « je dinais àLaeken. La jeune reine était fort timide dans les commencements; cependant ilnétait pas difficile de remarquer dans sa conversation combien son éducation avaitété soignée et combien elle était instruite, surtout dans lhistoire des tout ceci nétait rien en comparaison des belles qualités de son âme, parlesquelles elle obtint bientôt le respect et lattachement général. Au physique, elle. Lombre de la reine, image trompe-lœil, publiée a loccasion de la mort de la reine Louise. Fac-similé dune lithographie de lépoque. réunissait le double caractère de fille de saint Louis et de Marie-Thérèse. Son teintblanc et rose; sa chevelure dun blond pâle était celle de la maison dAutriche et desa mère, fille darchiduchesse. Ses traits étaient ceux des Bourbons. « Dans les premiers jours de i833, la jeune reine commença à paraitre; il y eutplusieurs bals à la Cour. Déjà depuis quelques années, la danse sétait changée pourles hommes en une espèce de dégaine gauche, traînante et disgracieuse qui nétaitni danse ni marche, et qui navait de lune et de lautre que ce quelles peuvent avoirde désagréable à la vue. Les femmes seules dansaient encore. La reine lemportaitinfiniment sur elles toutes par la grâce, la dignité et la facilité de sa danse et par laperfection de ses pas. Elle était vraiment lornement du bal. »


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